Une métaphore du renflouement des banques par les États auquel on assiste depuis 2008: de l'argent jeté sur le feu.
Certains suggèrent que des balles auraient peut-être mieux fait l'affaire.
J'aimerais mieux un beau procès où tous les tenants et les aboutissants seraient dans le détail présentés.
Je trouve personnellement que la peine de mort est une peine trop légère pour les fautes des banquiers et autres financiers ou administrateurs.
Ils méritent les interminables jours d'une vie ratée dans une cellule obscure, froide et solitaire, tous leurs biens ayant été impitoyablement confisqués.
lundi 30 janvier 2012
De l'argent jeté sur le feu
heure 13:34:00
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