Ces aigles chauves (leur nom véritable est « pygargue ») se disputent un poisson et sont si acharnés dans leur dispute qu'ils se sont presque écrasés au sol avant de la terminer, au profit au plus téméraire d'entre eux.
Cet aigle est le symbole animal des États-Unis malgré les objections de Benjamin Franklin.
Car cet aigle n'en est pas un, c'est plutôt un rapace qui se nourrit de poissons et aussi de détritus parfois, ou de charognes (proies déjà tuées par d'autres espèces, par le balbuzard notamment), un peu comme les hyènes ou les chacals. Franklin ne le trouvait pas « moral » et plutôt paresseux (il profitait du travail des autres pour se nourrir). Il ne lui trouvait pas les qualités qu'il aurait voulues à ses compatriotes.
À ce pygargue, il préférait le dindon comme symbole des États-Unis.
Si je considère l'histoire des États-Unis et les moyens (et l'idéologie) qu'ils ont utilisés pour acquérir leur puissance, leur domination et leur richesse (les génocides amérindiens, l'exploitation capitaliste outrancière, criminelle, des ouvriers et des immigrants, les guerres coloniales, etc.), je trouve pour ma part que Benjamin Franklin se faisait des illusions à propos de ses compatriotes et qu'il avait tort en ce qui concerne le symbole des États-Unis : le pygargue (ou « aigle à tête chauve » qui n'est pas un aigle) leur convient parfaitement.
Surtout si l'on considère les arguments utilisés par les opposants (jusqu'à aujourd'hui) contre le système d'assurance maladie préconisé naguère par Barack Obama.
Comme charognards...
(Ou peut-être devrais-je utiliser le mot « charognes » : les charognards ce sont plutôt les républicains et les compagnies d'assurances étasuniennes).
(Sujet (mais pas les réflexions) emprunté à Zigonet, ici).
P. S. Le pygargue pourrait d'ailleurs être le symbole de tous les pays charognards, Russie, Chine, Angleterre, etc.
Cet aigle est le symbole animal des États-Unis malgré les objections de Benjamin Franklin.
Car cet aigle n'en est pas un, c'est plutôt un rapace qui se nourrit de poissons et aussi de détritus parfois, ou de charognes (proies déjà tuées par d'autres espèces, par le balbuzard notamment), un peu comme les hyènes ou les chacals. Franklin ne le trouvait pas « moral » et plutôt paresseux (il profitait du travail des autres pour se nourrir). Il ne lui trouvait pas les qualités qu'il aurait voulues à ses compatriotes.
À ce pygargue, il préférait le dindon comme symbole des États-Unis.
Si je considère l'histoire des États-Unis et les moyens (et l'idéologie) qu'ils ont utilisés pour acquérir leur puissance, leur domination et leur richesse (les génocides amérindiens, l'exploitation capitaliste outrancière, criminelle, des ouvriers et des immigrants, les guerres coloniales, etc.), je trouve pour ma part que Benjamin Franklin se faisait des illusions à propos de ses compatriotes et qu'il avait tort en ce qui concerne le symbole des États-Unis : le pygargue (ou « aigle à tête chauve » qui n'est pas un aigle) leur convient parfaitement.
Surtout si l'on considère les arguments utilisés par les opposants (jusqu'à aujourd'hui) contre le système d'assurance maladie préconisé naguère par Barack Obama.
Comme charognards...
(Ou peut-être devrais-je utiliser le mot « charognes » : les charognards ce sont plutôt les républicains et les compagnies d'assurances étasuniennes).
(Sujet (mais pas les réflexions) emprunté à Zigonet, ici).
P. S. Le pygargue pourrait d'ailleurs être le symbole de tous les pays charognards, Russie, Chine, Angleterre, etc.
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