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Bien sûr il existe de ces petites rues partout dans les anciennes villes d'Europe qui sont comme des corridors tracés dehors, des passages à ciel ouvert, mais à Venise, pas de bruits de moteurs (d'autant plus que les canaux ne sont pas près : pas de vaporetti et de ces choses qui empestent le pétrole) et la perspective de ne jamais rencontrer de voitures.
Ah! le bonheur !
S'il n'y avait pas d'avion à prendre pour y être, une autre de ces choses qui empestent le pétrole et qui ressemblent en plus à des boîtes de sardines remplies à ras bord de gens malpolis qui sont vos voisins trop voisins et qui sont le personnel excédé par d'incessants aller-retour.
Que d'obstacles séparent un Nord-américain du paradis !
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