Chevaux

Sur un mur de l'accueil de l'Auberge des 3 Canards, rivalisant avec des canards de toutes formes que l'on trouve partout, une toile où est est peinte cette harde de chevaux dans une course échevelée.
Quels beaux animaux!
Je ne sais pas si la chose est héréditaire, mais mon grand-père maternel -qui ne s'appelait pas en vain «Philippe« («philo» et «hippos» en grec, «ami du cheval» en français)- a, m'a-t-on raconté, perdu une ou deux fermes dans des paris sur des chevaux -qu'il adorait aussi bien posséder que voir courir.
J'ai tenu à ce que l'un des prénoms de mon fils soit «Philippe».
Et quand je vois des chevaux je les photographie ou, s'il sont miniatures, je les achète.
Disons que je les achetais car je m'exerce maintenant à ne plus rien acheter qui soit purement décoratif.
Comme ascèse et pour ne pas laisser trop d'objets inutiles à ceux qui vont me survivre.
Il est si difficile de se débarrasser des objets des défunts.
Maintenant je me contente de regarder attentivement les chevaux et de les photographier pour les présenter dans ce blogue.
Je vous présente donc ceux de l'Auberge des 3 Canards.