Puisque c'était hier (il y a quelques instants car il n'est qu'un peu passé minuit quand j'écris ce billet) le jour du colchique dans le calendrier républicain français, et l'anniversaire de mon père qui aurait eu 91 ans en ce jour, permettez-moi de vous présenter, comme l'année dernière à la même date, une vidéo où la chanson qui met en scène des colchiques est interprétée par Jacques Douai. Elle est suivie des paroles de celle-ci.
Cette chanson triste me rappelle un temps fugitif d'insouciance et de bonheur qui s'ignorait.
Cette chanson triste me rappelle un temps fugitif d'insouciance et de bonheur qui s'ignorait.
Colchiques dans les prés
(Paroles et musique de Francine COCKENPOT-1955)
Colchiques dans les prés
fleurissent fleurissent
Colchiques dans les prés
C’est la fin de l’été
La feuille d’automne emportée par le vent
En ronde monotone tombe en tourbillonnant
Châtaignes dans les bois
se fendent se fendent
Châtaignes dans les bois
Se fendent sous les pas
La feuille d’automne emportée par le vent
En ronde monotone tombe en tourbillonnant
Nuages dans le ciel
s’étirent s’étirent
Nuages dans le ciel S’étirent comme une aile
La feuille d’automne emportée par le vent
En ronde monotone tombe en tourbillonnant
Et ce chant dans mon cœur
murmure murmure
Et ce chant dans mon cœur
Appelle le bonheur
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