Dans ces deux livres de Dan Simmons dont j'entends parler pour la première fois aujourd'hui dans le Figaro.fr (ici), Ilium/Olympos, on croise,
deux spécimens de robots biomécaniques qui dialoguaient sans fin pour savoir qui, de Proust ou de Shakespeare, était le plus grand écrivain de tous les temps!
L'un deux est « Mahnmut l’européen [...] un explorateur des océans d’Europe* et capitaine du submersible La Dame noire. C'est un amateur de l’étude de Shakespeare. » (voir ici et ici).
L'autre est « Orphu d’Io [...], un moravec extrêmement caparaçonné, adapté au vide et âgé de 1 200. Sa forme n’est pas sans rappeler celle d’un crabe. Pesant huit tonnes et mesurant six mètres de long, Orphu travaille dans la tore de sulfure entourant Io et apprécie Proust. » (voir ici et ici).
Les Moravecs auxquels appartiennent les deux protagonistes,« sont des organismes biomécaniques autonomes, conscients et auto-évoluant installés sur les satellites joviens. Ils ont été envoyés à travers le système solaire externe par les humains dans les temps perdus. La plupart des Moravecs se décrivent comme humanistes et étudient la culture de ces temps perdus, dont la littérature, les programmes de télévision et les films. » (voir ici).
Il s'agit de deux romans de science-fiction que je vais lire le plus tôt possible.
Car
[d]ans le roman, souvent, il y a beaucoup d’histoires, et peu de fiction. Faire des histoires : bavasser, créer des embarras à propos d’une situation existante, égrener de fausses vérités. A la fin, rien n’est changé. Faire des fictions: déboucher le réel, lui inventer des issues, passer de l’autre côté du miroir. Mentir vrai.
* Europe est ici un satellite de Jupiter.
deux spécimens de robots biomécaniques qui dialoguaient sans fin pour savoir qui, de Proust ou de Shakespeare, était le plus grand écrivain de tous les temps!
L'un deux est « Mahnmut l’européen [...] un explorateur des océans d’Europe* et capitaine du submersible La Dame noire. C'est un amateur de l’étude de Shakespeare. » (voir ici et ici).
L'autre est « Orphu d’Io [...], un moravec extrêmement caparaçonné, adapté au vide et âgé de 1 200. Sa forme n’est pas sans rappeler celle d’un crabe. Pesant huit tonnes et mesurant six mètres de long, Orphu travaille dans la tore de sulfure entourant Io et apprécie Proust. » (voir ici et ici).
Les Moravecs auxquels appartiennent les deux protagonistes,« sont des organismes biomécaniques autonomes, conscients et auto-évoluant installés sur les satellites joviens. Ils ont été envoyés à travers le système solaire externe par les humains dans les temps perdus. La plupart des Moravecs se décrivent comme humanistes et étudient la culture de ces temps perdus, dont la littérature, les programmes de télévision et les films. » (voir ici).
Il s'agit de deux romans de science-fiction que je vais lire le plus tôt possible.
Car
[d]ans le roman, souvent, il y a beaucoup d’histoires, et peu de fiction. Faire des histoires : bavasser, créer des embarras à propos d’une situation existante, égrener de fausses vérités. A la fin, rien n’est changé. Faire des fictions: déboucher le réel, lui inventer des issues, passer de l’autre côté du miroir. Mentir vrai.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire