Une statue de femme couchée pourrait-on croire.
Mais quand on visite le « Louvre » on sait avant même d'arriver à la statue: ce n'est pas la représentation d'une femme, c'est celle de l'« Hermaphodite endormi ».
Selon la légende c'est l'enfant du dieu Hermès et de la déesse Aphrodite, comme le dit son nom.
Quand on en fait le tour, on s'aperçoit que c'est la représentation d'un être qui possède des attributs des deux sexes.
Mais d'abord du sexe masculin, voyez :
Vue rapprochée :
Un petit tour supplémentaire et voilà des seins :
Un autre zoom et voilà les deux attributs sexuels contradictoires dans un seul être :
Cette statue est prémonitoire (peut-être comme toute la mythologie gréco-romaine) car elle annonce les transsexuel(le)s que nous connaissons maintenant, lors d'une certaine étape de leur transformation.
Ou peut-être dans leur état définitif pour certain(e)s d'entre elles/eux.
En la voyant on ne peut se défendre de penser qu'avec les moyens que leur donnent les sciences les humains sont en train de devenir les dieux et les déesses que les Anciens avaient imaginés.
La statue fascine les visiteurs du musée et depuis longtemps.
Une lady anglaise du 18e siècle disait d'elle (ou de lui ?) qu'elle constituait le seul couple heureux qu'elle ait jamais rencontré.
Voici une autre représentation où Hermaphodite n'est pas endormi :
Mais quand on visite le « Louvre » on sait avant même d'arriver à la statue: ce n'est pas la représentation d'une femme, c'est celle de l'« Hermaphodite endormi ».
Selon la légende c'est l'enfant du dieu Hermès et de la déesse Aphrodite, comme le dit son nom.
Quand on en fait le tour, on s'aperçoit que c'est la représentation d'un être qui possède des attributs des deux sexes.
Mais d'abord du sexe masculin, voyez :
Vue rapprochée :
Un petit tour supplémentaire et voilà des seins :
Un autre zoom et voilà les deux attributs sexuels contradictoires dans un seul être :
Cette statue est prémonitoire (peut-être comme toute la mythologie gréco-romaine) car elle annonce les transsexuel(le)s que nous connaissons maintenant, lors d'une certaine étape de leur transformation.
Ou peut-être dans leur état définitif pour certain(e)s d'entre elles/eux.
En la voyant on ne peut se défendre de penser qu'avec les moyens que leur donnent les sciences les humains sont en train de devenir les dieux et les déesses que les Anciens avaient imaginés.
La statue fascine les visiteurs du musée et depuis longtemps.
Une lady anglaise du 18e siècle disait d'elle (ou de lui ?) qu'elle constituait le seul couple heureux qu'elle ait jamais rencontré.
Voici une autre représentation où Hermaphodite n'est pas endormi :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire