Ce sont deux des tableaux de Marc-Aurèle Fortin représentant des ormes exposés récemment, parmi d'autres tous plus merveilleux les uns que les autres, au Musée national des beaux-arts du Québec.
Je ne sais pas si ce sont ces ormes qui ont initié chez moi cette obsession pour les ormes qui culminent ces jours-ci car on en abat autour de chez moi un grand nombre morts de la « maladie hollandaise de l'orme », comme on l'appelle ici.
On en a abattu trois ou quatre hier et on en abattra cinq ou six aujourd'hui.
Et ceux qu'on n'abat pas encore commencent à montrer des signes de la maladie. Ils mourront sans doute l'an prochain, ou l'année d'après.
Comme moi peut-être (je me reconnais en eux, malgré moi).
Avec une sorte de frénésie, je prends quelques photos de ceux qui restent autour de chez moi, en face, derrière (rue de Calais), dans la rue Vaudreuil et dans la rue Burma.
En voici quatre et, en dernier lieu, l'orme mort de la rue de Calais qu'on abattra demain. Ce billet est comme un requiem.
Et voici celui qui est mort et qui disparaîtra demain:
Je ne sais pas si ce sont ces ormes qui ont initié chez moi cette obsession pour les ormes qui culminent ces jours-ci car on en abat autour de chez moi un grand nombre morts de la « maladie hollandaise de l'orme », comme on l'appelle ici.
On en a abattu trois ou quatre hier et on en abattra cinq ou six aujourd'hui.
Et ceux qu'on n'abat pas encore commencent à montrer des signes de la maladie. Ils mourront sans doute l'an prochain, ou l'année d'après.
Comme moi peut-être (je me reconnais en eux, malgré moi).
Avec une sorte de frénésie, je prends quelques photos de ceux qui restent autour de chez moi, en face, derrière (rue de Calais), dans la rue Vaudreuil et dans la rue Burma.
En voici quatre et, en dernier lieu, l'orme mort de la rue de Calais qu'on abattra demain. Ce billet est comme un requiem.
Et voici celui qui est mort et qui disparaîtra demain:
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