C'est l'affiche d'une série étasunienne que je n'ai jamais regardée, «Two And A Half Men» et dont je ne sais absolument rien.
(D'ailleurs les séries étasuniennes, dès que les scénaristes y mêlent des histoires d'amour manifestement pour étirer la sauce, elles deviennent d'un intérêt nul. Quand en plus les sonorisateurs leur ajoutent des musiques qui empêchent d'entendre les dialogues, alors là c'est l'échec général).
L'affiche est sûrement plus intéressante que la série car il y a quelques touches d'un clavier.
Des touches noires et blanches comme les films anciens.
Et comme j'ai vu dimanche un long documentaire (pas assez long à mon gré) sur Django Reinhard qui a renouvelé mon amour pour sa musique, surtout quand il joue avec Stéphane Grappelli et le Quintette du Hot Club de France, j'ai décidé de prendre appui sur l'affiche pour vous présenter du «Django» c'est-à-dire du jazz mais sans piano (allez donc savoir quelle logique ma vieille tête a suivie).
Voici «J'attendrai», que j'aime dans toutes ses interprétations (celle de Rina Ketty par exemple) mais particulièrement dans celle que je vais vous présenter.
Elle date de 1939, l'époque du noir et blanc, c'est la seule relation que je peux trouver maintenant entre elle et le clavier de l'affiche.
J'ajoute cette photo en noir et blanc également du Quintette du Hot Club de France et les paroles de «J'attendrai»:
J'attendrai
Le jour et la nuit j'attendrai toujours ton retour
J'attendrai
J'attendrai
Car l'oiseau qui s'enfuit vient chercher l'oubli dans son nid
Le temps passe et court en battant tristement
Dans mon cœur si lourd
Et pourtant j'attendrai ton retour
J'attendrai
Le jour et la nuit j'attendrai toujours ton retour
J'attendrai
J'attendrai
Car l'oiseau qui s'enfuit vient chercher l'oubli dans son nid
Le temps passe et court en battant tristement
Dans mon cœur si lourd
Et pourtant j'attendrai ton retour
Le vent m'apporte des bruits lointains
Que dans ma porte j'écoute en vain
Hélas plus rien, plus rien ne vient
J'attendrai
Le jour et la nuit j'attendrai toujours ton retour
J'attendrai
J'attendrai
Car l'oiseau qui s'en fuit vient chercher l'oubli dans son nid
Le temps passe et court en battant tristement
Dans mon cœur si lourd
Et pourtant j'attendrai ton retour
Et pourtant j'attendrai ton retour
Le temps passe et court en battant tristement
Dans mon cœur si lourd
Et pourtant j'attendrai ton retour
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire