C'est une photo du bâtiment du Westin Hotel at Times Square à New York.
Ce n'est pas lors de mon dernier séjour que je l'ai vu mais dans un numéro de « Geo Voyage » consacré à New York (page couverture au bas de ce billet).
Je l'ai trouvé si original que ma première réaction a été de vous le présenter.
(Originalité : on dit que c'est le premier hôtel de style « Latino » de la ville et par «Latino » on entend naturellement le style inventé par les habitants des pays hispaniques d'Amérique).
Et cela me donne l'occasion de vous faire lire un poème sur New York :
No daisies, violets, green or
Daffodils: nor even wide Expanse of summer skies
Can hold me long ; But, bricks and houses ;
Stones and hard cement; A lonely street lit up by rows of lamps....
A room, a bed...a chair... These make me glad:
Because on rainy nights I can hear
The lonely, vibrant calls
Of ocean greyhounds near.
Traduction en français proposée:
Nulle pâquerette, nulle violette, nulle verdure nulle
Jonquille, nulle vaste
Étendue de ciel d'été
Ne peut longtemps me retenir ; Mais briques et maisons ;
Pierres et béton ; Une rue déserte éclairée par des rangées de réverbères ....
Une chambre, un lit ... une chaise ...
Cela me rend heureux :
Car par les nuits de pluie Je puis y entendre
Les appels solitaires et poignants
Des navires en partance.
Et voici l'hôtel photographié sous un autre angle, et avec réverbère :
Ce n'est pas lors de mon dernier séjour que je l'ai vu mais dans un numéro de « Geo Voyage » consacré à New York (page couverture au bas de ce billet).
Je l'ai trouvé si original que ma première réaction a été de vous le présenter.
(Originalité : on dit que c'est le premier hôtel de style « Latino » de la ville et par «Latino » on entend naturellement le style inventé par les habitants des pays hispaniques d'Amérique).
Et cela me donne l'occasion de vous faire lire un poème sur New York :
OCEAN GREYHOUNDS
No daisies, violets, green or
Daffodils: nor even wide Expanse of summer skies
Can hold me long ; But, bricks and houses ;
Stones and hard cement; A lonely street lit up by rows of lamps....
A room, a bed...a chair... These make me glad:
Because on rainy nights I can hear
The lonely, vibrant calls
Of ocean greyhounds near.
Traduction en français proposée:
Navires
Nulle pâquerette, nulle violette, nulle verdure nulle
Jonquille, nulle vaste
Étendue de ciel d'été
Ne peut longtemps me retenir ; Mais briques et maisons ;
Pierres et béton ; Une rue déserte éclairée par des rangées de réverbères ....
Une chambre, un lit ... une chaise ...
Cela me rend heureux :
Car par les nuits de pluie Je puis y entendre
Les appels solitaires et poignants
Des navires en partance.
Et voici l'hôtel photographié sous un autre angle, et avec réverbère :
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