C'est un réverbère devant la façade de la magnifique gare de Valence en Espagne (Estació del Nord -son nom catalan, page en castillan au bout de ce lien)
L'architecture de cette gare, construite à la fin des années 10 du 20e siècle, hésite entre l'« Art Nouveau » et ses motifs floraux, et l'« Art déco », ses symétries et ses nervures fortement soulignées.
Cette hésitation est visible aussi dans le réverbère.
Voici une vue d'ensemble de la gare vers laquelle nous avons dû marcher vivement avec nos bagages (heureusement pourvus de roulettes), le bus qui devait nous y conduire menaçant de ne pas arriver près de l'hôtel où nous l'attendions jusque-là pourtant patiemment.
En voici une vue d'ensemble qui vous permettra de juger vous-même de cette hésitation:
(À gauche c'est la « Plaza de toros » (page en castillan au bout de ce lien) de la ville, inspirée de l'architecture du Colisée de Rome).
Peut-être pourriez-vous mieux voir sur cette photo (excusez l'inclinaison):
Vous voyez la symétrie « Art déco ».
Les motifs floraux les voici autour de l'horloge au centre (la structure qui porte celle-ci n'est pas sans symétrie elle aussi), dans le lustre du vestibule ou devant les guichets (impossible de photographier davantage de l'intérieur car on se méfiait des attentats d'Al Quaida):
À la suite de ces instructives photos j'avais l'intention de vous présenter la chanson « Valencia » interprétée par Sara Montiel.
Mais ce que je trouve sur Youtube ne me plaît pas à l'heure actuelle (on change de goût parfois avec les semaines et les années, peut-être l'aimerai-je un jour).
Aussi ai-je résolu de vous présenter par Sara Montiel également « Quizás, Quizás, Quizás », même si je vous ai déjà présenté cette chanson par Nat King Cole ici (vous devinez que cette chanson me plaît énormément).
J'ajoute le texte castillan et une traduction en français que j'ai moi-même concoctée (veuillez m'en excuser).
Siempre que te pregunto
Que, cuándo, cómo y dónde
Tú siempre me respondes
Quizás, quizás, quizás
Y así pasan los días
Y yo, desesperando
Y tú, tú contestando
Quizás, quizás, quizás
Estás perdiendo el tiempo
Pensando, pensando
Por lo que más tú quieras
¿Hasta cuándo ? ¿Hasta cuándo ?
Y así pasan los días
Y yo, desesperando
Y tú, tú contestando
Quizás, quizás, quizás
Estás perdiendo el tiempo
Pensando, pensando
Por lo que más tú quieras
¿Hasta cuándo ? ¿Hasta cuándo ?
Y así pasan los días
Y yo, desesperando
Y tú, tú contestando
Quizás, quizás, quizás
Je suis toujours à te demander
Quand, comment et où
Tu me réponds toujours
Je ne sais pas, je ne sais pas, je ne sais pas*
Les jours passent passent
Et je suis désespérée
Et toi tu répètes répètes
Je ne sais pas, je ne sais pas, je ne sais pas
Tu perds ton temps
À réfléchir, réfléchir
À ce que tu préfères
Jusqu'à quand ? Jusqu'à quand ?
Les jours passent passent
Et je suis désespérée
Et toi tu répètes répètes
Je ne sais pas, je ne sais pas, je ne sais pas
Tu perds ton temps
À réfléchir, réfléchir
À ce que tu préfères
Jusqu'à quand ? Jusqu'à quand ?
Les jours passent passent
Et je suis désespérée
Et toi tu répètes répètes
Je ne sais pas, je ne sais pas, je ne sais pas
* On me souligne que « quizás » se traduit plutôt par « peut-être » ou, à la limite, par « qui sait ? ». Je le sais. Mais le contexte de la chanson m'amène à préférer « je ne sais pas ». J'avais aussi pensé à « j'hésite » qui se chanterait mieux.
L'architecture de cette gare, construite à la fin des années 10 du 20e siècle, hésite entre l'« Art Nouveau » et ses motifs floraux, et l'« Art déco », ses symétries et ses nervures fortement soulignées.
Cette hésitation est visible aussi dans le réverbère.
Voici une vue d'ensemble de la gare vers laquelle nous avons dû marcher vivement avec nos bagages (heureusement pourvus de roulettes), le bus qui devait nous y conduire menaçant de ne pas arriver près de l'hôtel où nous l'attendions jusque-là pourtant patiemment.
En voici une vue d'ensemble qui vous permettra de juger vous-même de cette hésitation:
(À gauche c'est la « Plaza de toros » (page en castillan au bout de ce lien) de la ville, inspirée de l'architecture du Colisée de Rome).
Peut-être pourriez-vous mieux voir sur cette photo (excusez l'inclinaison):
Vous voyez la symétrie « Art déco ».
Les motifs floraux les voici autour de l'horloge au centre (la structure qui porte celle-ci n'est pas sans symétrie elle aussi), dans le lustre du vestibule ou devant les guichets (impossible de photographier davantage de l'intérieur car on se méfiait des attentats d'Al Quaida):
À la suite de ces instructives photos j'avais l'intention de vous présenter la chanson « Valencia » interprétée par Sara Montiel.
Mais ce que je trouve sur Youtube ne me plaît pas à l'heure actuelle (on change de goût parfois avec les semaines et les années, peut-être l'aimerai-je un jour).
Aussi ai-je résolu de vous présenter par Sara Montiel également « Quizás, Quizás, Quizás », même si je vous ai déjà présenté cette chanson par Nat King Cole ici (vous devinez que cette chanson me plaît énormément).
J'ajoute le texte castillan et une traduction en français que j'ai moi-même concoctée (veuillez m'en excuser).
Quizás, Quizás, Quizás
Siempre que te pregunto
Que, cuándo, cómo y dónde
Tú siempre me respondes
Quizás, quizás, quizás
Y así pasan los días
Y yo, desesperando
Y tú, tú contestando
Quizás, quizás, quizás
Estás perdiendo el tiempo
Pensando, pensando
Por lo que más tú quieras
¿Hasta cuándo ? ¿Hasta cuándo ?
Y así pasan los días
Y yo, desesperando
Y tú, tú contestando
Quizás, quizás, quizás
Estás perdiendo el tiempo
Pensando, pensando
Por lo que más tú quieras
¿Hasta cuándo ? ¿Hasta cuándo ?
Y así pasan los días
Y yo, desesperando
Y tú, tú contestando
Quizás, quizás, quizás
Je ne sais pas, je ne sais pas, je ne sais pas
Je suis toujours à te demander
Quand, comment et où
Tu me réponds toujours
Je ne sais pas, je ne sais pas, je ne sais pas*
Les jours passent passent
Et je suis désespérée
Et toi tu répètes répètes
Je ne sais pas, je ne sais pas, je ne sais pas
Tu perds ton temps
À réfléchir, réfléchir
À ce que tu préfères
Jusqu'à quand ? Jusqu'à quand ?
Les jours passent passent
Et je suis désespérée
Et toi tu répètes répètes
Je ne sais pas, je ne sais pas, je ne sais pas
Tu perds ton temps
À réfléchir, réfléchir
À ce que tu préfères
Jusqu'à quand ? Jusqu'à quand ?
Les jours passent passent
Et je suis désespérée
Et toi tu répètes répètes
Je ne sais pas, je ne sais pas, je ne sais pas
* On me souligne que « quizás » se traduit plutôt par « peut-être » ou, à la limite, par « qui sait ? ». Je le sais. Mais le contexte de la chanson m'amène à préférer « je ne sais pas ». J'avais aussi pensé à « j'hésite » qui se chanterait mieux.
2 commentaires:
Quel beau partage ! Carpe diem et buvez à la beauté pour paraphraser l' ode citée plus bas.
Merci et carpe diem.
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