C'est la photo d'un tableau naïf représentant Juliette Gréco tenant un guépard en laisse.
Je l'ai prise au musée Carnavalet d'histoire de la ville de Paris en septembre dernier.
Je n'en ai remarqué ni l'auteur, ni la notice et je l'ai prise rapidement, seulement comme prétexte éventuel pour parfois vous présenter une chanson qui me plaît.
Voici « Déshabillez-moi » :
Je l'ai prise au musée Carnavalet d'histoire de la ville de Paris en septembre dernier.
Je n'en ai remarqué ni l'auteur, ni la notice et je l'ai prise rapidement, seulement comme prétexte éventuel pour parfois vous présenter une chanson qui me plaît.
Voici « Déshabillez-moi » :
Déshabillez-moi
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Oui, mais pas tout de suite, pas trop vite
Sachez me convoiter, me désirer, me captiver
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Mais ne soyez pas comme tous les hommes, trop pressés.
Et d'abord, le regard
Tout le temps du prélude
Ne doit pas être rude, ni hagard
Dévorez-moi des yeux
Mais avec retenue
Pour que je m'habitue, peu à peu...
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Oui, mais pas tout de suite, pas trop vite
Sachez m'hypnotiser, m'envelopper, me capturer
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Avec délicatesse, en souplesse, et doigté
Choisissez bien les mots
Dirigez bien vos gestes
Ni trop lents, ni trop lestes, sur ma peau
Voilà, ça y est, je suis
Frémissante et offerte
De votre main experte, allez-y...
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Maintenant tout de suite, allez vite
Sachez me posséder, me consommer, me consumer
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Conduisez-vous en homme
Soyez l'homme... Agissez!
Déshabillez-moi, déshabillez-moi
Et vous... déshabillez-vous!
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