Vous croyez sans doute que c'est à cause des réverbères que je vous présente cette photo des bouquinistes des quais de la Seine à Paris.
Vous n'avez pas tort mais pas entièrement raison.
Depuis plusieurs jours je suis à trier les livres de ma bibliothèque pour me séparer de la majorité d'entre eux.
Je n'enseigne plus depuis sept ans maintenant et je n'ai plus besoin des ouvrages théoriques qui me servaient.
De toute façon, ils commencent comme moi à prendre de l'âge et à être dépassés.
Par ailleurs j'ai toujours été curieux de tous les arts (peinture, musique, cinéma, théâtre) et de leur histoire et de leurs théories et je dois me séparer aussi de ces ouvrages-là car ils souffrent des mêmes défauts que les ouvrages de littérature et, en plus, la Toile fournit de nos jours tout ce qui s'y trouvait, et avec la vitesse de l'éclair.
Mes livres de poches ont été remplacés par des «Pléiade» ou des éditions reliées et je garde mes vieux Garnier.
J'hésite encore à me séparer des mes albums et de mes « beaux livres ».
Bref, j'ai beaucoup fréquenté ces bouquinistes (pas surtout ceux des quais de la Seine mais ceux du Vieux-Port de Montréal ou de la Terrasse Dufferin à Québec quand il s'en trouvait) et toutes les librairies que j'ai rencontrées dans toutes les villes que j'ai visitées et où j'ai habité (et particulièrement celles de Saguenay depuis trente ans et plus, je pense à la « Librairie Régionale », disparue, et aux « Bouquinistes », voire à « Archambault » où, très longtemps, j'ai rencontré d'anciens étudiants de littérature).
Je dois leur dire adieu ainsi qu'à beaucoup de livres que j'y ai acquis.
Cette photo est un adieu à la plupart de mes livres (ainsi que ce billet).
Vous n'avez pas tort mais pas entièrement raison.
Depuis plusieurs jours je suis à trier les livres de ma bibliothèque pour me séparer de la majorité d'entre eux.
Je n'enseigne plus depuis sept ans maintenant et je n'ai plus besoin des ouvrages théoriques qui me servaient.
De toute façon, ils commencent comme moi à prendre de l'âge et à être dépassés.
Par ailleurs j'ai toujours été curieux de tous les arts (peinture, musique, cinéma, théâtre) et de leur histoire et de leurs théories et je dois me séparer aussi de ces ouvrages-là car ils souffrent des mêmes défauts que les ouvrages de littérature et, en plus, la Toile fournit de nos jours tout ce qui s'y trouvait, et avec la vitesse de l'éclair.
Mes livres de poches ont été remplacés par des «Pléiade» ou des éditions reliées et je garde mes vieux Garnier.
J'hésite encore à me séparer des mes albums et de mes « beaux livres ».
Bref, j'ai beaucoup fréquenté ces bouquinistes (pas surtout ceux des quais de la Seine mais ceux du Vieux-Port de Montréal ou de la Terrasse Dufferin à Québec quand il s'en trouvait) et toutes les librairies que j'ai rencontrées dans toutes les villes que j'ai visitées et où j'ai habité (et particulièrement celles de Saguenay depuis trente ans et plus, je pense à la « Librairie Régionale », disparue, et aux « Bouquinistes », voire à « Archambault » où, très longtemps, j'ai rencontré d'anciens étudiants de littérature).
Je dois leur dire adieu ainsi qu'à beaucoup de livres que j'y ai acquis.
Cette photo est un adieu à la plupart de mes livres (ainsi que ce billet).
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