Rien à faire (que la lessive) en ce lendemain du Jour de l'an (2011).
Le gym est fermé et je suis las des magasins.
Pour passer un peu le temps, je jette à nouveau un coup d'œil sur les photos de notre plus récent voyage à Paris (je n'écris pas « dernier voyage à Paris » par superstition: on n'est jamais trop prudent à mon âge).
Je vous ai déjà parlé (et présenté) un végétal pudique du Palais des Doges à Venise (ici).
J'ai trouvé son cousin à l'une des portes (celle par laquelle on nous fait entrer) de Notre-Dame de Paris : voyez les photos ci-dessus.
La scène se passe sous la statue de Notre-Dame portant l'Enfant-Jésus.
C'est un rappel du péché originel d'Ève et d'Adam -qui ont tous deux commis ce péché en croquant, comme la scène le représente, dans le fruit de l'Arbre de la science du bien et du mal à l'instigation du démon lequel, ici, prend l'aspect, non d'un serpent, mais d'un ange avec des seins ou, peut-être, d'une sirène ailée avec un corps de serpent.
En présentant cette scène sous les pieds de la Vierge, le sculpteur a peut-être voulu signifier qu'en mettant l'Enfant-Jésus au monde celle-ci a permis à Jésus d'effacer ce péché originel, ce qui est bien la doctrine orthodoxe, je crois.
Mais voyez la scène d'un peu plus près (cliquez la photo s'il le faut): vous voyez ce pudique végétal étendre deux branches, l'une devant le sexe d'Ève, l'autre devant celui d'Adam.
Ici le péché originel est consommé, Ève mange le fruit et en donne un autre à Adam: ceux-ci ont donc déjà honte de leur nudité et l'action du végétal pudique est logique, alors qu'il ne l'était pas à Venise.
La Sorbonne étant à Paris (et renommée pour sa faculté de théologie), peut-être cette ville comptait-elle de meilleurs théologiens que Venise (dont l'université est (était ?) à Padoue et est (était ?) plutôt renommée pour sa faculté de médecine).
Ou peut-être les Vénitiens étaient-ils plus désinvoltes que les Parisiens à l'égard des histoires de la Bible.
Sait-on ?
Le gym est fermé et je suis las des magasins.
Pour passer un peu le temps, je jette à nouveau un coup d'œil sur les photos de notre plus récent voyage à Paris (je n'écris pas « dernier voyage à Paris » par superstition: on n'est jamais trop prudent à mon âge).
Je vous ai déjà parlé (et présenté) un végétal pudique du Palais des Doges à Venise (ici).
J'ai trouvé son cousin à l'une des portes (celle par laquelle on nous fait entrer) de Notre-Dame de Paris : voyez les photos ci-dessus.
La scène se passe sous la statue de Notre-Dame portant l'Enfant-Jésus.
C'est un rappel du péché originel d'Ève et d'Adam -qui ont tous deux commis ce péché en croquant, comme la scène le représente, dans le fruit de l'Arbre de la science du bien et du mal à l'instigation du démon lequel, ici, prend l'aspect, non d'un serpent, mais d'un ange avec des seins ou, peut-être, d'une sirène ailée avec un corps de serpent.
En présentant cette scène sous les pieds de la Vierge, le sculpteur a peut-être voulu signifier qu'en mettant l'Enfant-Jésus au monde celle-ci a permis à Jésus d'effacer ce péché originel, ce qui est bien la doctrine orthodoxe, je crois.
Mais voyez la scène d'un peu plus près (cliquez la photo s'il le faut): vous voyez ce pudique végétal étendre deux branches, l'une devant le sexe d'Ève, l'autre devant celui d'Adam.
Ici le péché originel est consommé, Ève mange le fruit et en donne un autre à Adam: ceux-ci ont donc déjà honte de leur nudité et l'action du végétal pudique est logique, alors qu'il ne l'était pas à Venise.
La Sorbonne étant à Paris (et renommée pour sa faculté de théologie), peut-être cette ville comptait-elle de meilleurs théologiens que Venise (dont l'université est (était ?) à Padoue et est (était ?) plutôt renommée pour sa faculté de médecine).
Ou peut-être les Vénitiens étaient-ils plus désinvoltes que les Parisiens à l'égard des histoires de la Bible.
Sait-on ?
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