C'est une colonne Morris près de l'opéra Bastille (on voit un peu sa façade à droite).
J'aime le style oriental des colonnes Morris.
Voici un zoom sur sa coupole «extrême Orient» :
L'inscription ici dit « Spectacle » (en lettres romaines imitées des caractères des inscriptions antiques); sur d'autres l'inscription dit « Théâtre ».
Je n'ai pas remarqué d'autres inscriptions mais il y en a peut-être (je ferai mieux la prochaine fois).
J'ai photographié cette colonne particulière parce qu'elle se trouvait près de notre appartement et parce qu'elle annonçait un spectacle sur les amours de Victor Hugo et de Juliette Drouet.
Je me suis dit que j'allais utiliser cette photo chaque fois que je désirerais vous présenter un poème du « plus grand poète français, hélas ! », selon l'expression d'André Gide.
(Il y a eu d'autres « grands poètes français, hélas ! » au 20e siècle et même de « plus grands romanciers français, trois fois hélas ! »)
Je vais aujourd'hui vous présenter un poème que le poète adressait dans sa vieillesse (à lui et à elle) à Juliette qu'il avait beaucoup trompée mais qu'il continuait encore à aimer.
Ce poème parle de tous ceux qui ont vieilli ensemble malgré les traverses de la vie (il parle de moi aussi ce poème, de vous aussi peut-être, je vous le souhaite) :
J'aime le style oriental des colonnes Morris.
Voici un zoom sur sa coupole «extrême Orient» :
L'inscription ici dit « Spectacle » (en lettres romaines imitées des caractères des inscriptions antiques); sur d'autres l'inscription dit « Théâtre ».
Je n'ai pas remarqué d'autres inscriptions mais il y en a peut-être (je ferai mieux la prochaine fois).
J'ai photographié cette colonne particulière parce qu'elle se trouvait près de notre appartement et parce qu'elle annonçait un spectacle sur les amours de Victor Hugo et de Juliette Drouet.
Je me suis dit que j'allais utiliser cette photo chaque fois que je désirerais vous présenter un poème du « plus grand poète français, hélas ! », selon l'expression d'André Gide.
(Il y a eu d'autres « grands poètes français, hélas ! » au 20e siècle et même de « plus grands romanciers français, trois fois hélas ! »)
Je vais aujourd'hui vous présenter un poème que le poète adressait dans sa vieillesse (à lui et à elle) à Juliette qu'il avait beaucoup trompée mais qu'il continuait encore à aimer.
Ce poème parle de tous ceux qui ont vieilli ensemble malgré les traverses de la vie (il parle de moi aussi ce poème, de vous aussi peut-être, je vous le souhaite) :
Quand deux cœurs...
Quand deux cœurs en s'aimant ont doucement
[vieilli,Oh ! quel bonheur profond, intime, recueilli!
Amour ! hymen d'en haut ! ô pur lien des âmes!
Il garde ses rayons même en perdant ses flammes.
Ces deux cœurs qu'il a pris jadis n'en font plus
[qu'un.Il fait, des souvenirs de leur passé commun,
L'impossibilité de vivre l'un sans l'autre.
(Juliette, n'est-ce pas, cette vie est la nôtre!)
Il a la paix du soir avec l'éclat du jour,
Et devient l'amitié tout en restant l'amour !
1 commentaire:
c' est aussi mon avis, quel grand poète , et quelle leçon! Je suis toujours admirative de ce qui s' inscrit dans la durée, que ce soit pour le talent ou pour les amours, heureux les immortels.
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