Jamais je n'aurais cru pouvoir présenter un tableau dans la série «Réverbères du monde entier» de ce blogue.
Eh bien oui!
Dans ce tableau intitulé « Nuit sans étoile » de Jean-Paul Lemieux, il y a des réverbères très caractéristiques, et ces bâtiments à droite ressemblent fort à des bâtiments que l'on voit parfois au centre-ville d'Arvida, l'ancienne ville où j'habite depuis maintenant trente-cinq ans (ancienne parce qu'annexée, voire doublement annexée hélas, à une ville plus grande mais pas plus belle).
C'est l'hiver dans le tableau, comme très fréquemment au Québec et dans les tableaux de Lemieux, et de cette nuit seule et froide qui y est représentée se dégage la solitude qu'on éprouve pendant les nuits de cette saison.
Eh bien oui!
Dans ce tableau intitulé « Nuit sans étoile » de Jean-Paul Lemieux, il y a des réverbères très caractéristiques, et ces bâtiments à droite ressemblent fort à des bâtiments que l'on voit parfois au centre-ville d'Arvida, l'ancienne ville où j'habite depuis maintenant trente-cinq ans (ancienne parce qu'annexée, voire doublement annexée hélas, à une ville plus grande mais pas plus belle).
C'est l'hiver dans le tableau, comme très fréquemment au Québec et dans les tableaux de Lemieux, et de cette nuit seule et froide qui y est représentée se dégage la solitude qu'on éprouve pendant les nuits de cette saison.
Neige d'étoiles mortes
Le firmament noir
dépouillé de ses étoiles
mortes sur le sol
dépouillé de ses étoiles
mortes sur le sol
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