samedi 19 février 2011

Berlusconi et l'Italie: sexe vraiment non désiré?

Voilà l'image qu'à l'étranger on est dans l'obligation de se faire des relations entre l'Italie et son premier ministre actuel.
Peut-être, si l'on pense à tous les dirigeants que l'Italie a élus ou subis depuis le Risorgimento, et si l'on ajoute à ceux-ci les tenants du pouvoir papal, peut-être cette caricature est-elle plutôt une image parfaitement représentative de la manière dont l'Italie à son insu a toujours été gouvernée ou a toujours aimé être gouvernée (plutôt).
Ce dirigeant-ci n'étant que moins habile, moins intelligent que les autres et ne sachant pas jusqu'où aller trop loin sans péril. Comme un chien il se frotte sur la botte.
En langue vulgaire québécoise en dirait que l'Italie a toujours été « fourée » (excusez la vulgarité mais elle me semble si appropriée).
Mais j'ai tout à coup un doute et je ne puis me défendre de penser qu'il en est peut-être de même pour tous les pays.

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