mardi 1 février 2011

Mille et un vices

Cette image -tirée d'une publicité du magazine «Protégez-vous»- est un chef-d'œuvre selon moi.
Elle accompagne une publicité du Barreau du Québec sur les litiges qui s'élèvent à propos des «vices cachés» (un anglicisme, j'en suis sûr) des maisons dont on a fait l'acquisition.
Elle pourrait s'intituler «Si les murs pouvaient parler» et souligne le fait que si, effectivement, les murs pouvaient parler, on n'aurait pas besoin d'avocats pour traîner devant les tribunaux les personnes qui nous auraient vendu une maison comportant des «vices cachés».
Mais si les murs pouvaient parler peut-être nous parleraient-ils d'autres «vices cachés» que ceux de la maison, les vices des propriétaires antérieurs et de leurs familles, notamment.
Quels contes des mille et un vices de mille et une nuits les murs pourraient nous raconter, avec leur bouche de peinture écaillée comme dans ce chef-d'œuvre d'image.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire