Charlton Heston, un autre affligé de la maladie d'Alzheimer (voir ici), avec son joujou de droite (enfant bâtard du 2e amendement de la constitution des États-Unis) à un congrès de la National Rifle Association (sans doute : où ailleurs brandir une arme avec tant de plaisir manifeste ? Il est vrai qu'il le pourrait partout aux USA avec la joyeuse approbation de la Cour suprême de ce pays).
L'adieu du cavalierAh Dieu! que la guerre est jolie Avec ses chants ses longs loisirs Cette bague je l'ai polie Le vent se mêle à vos soupirs Adieu! voici le boute-selle Il disparut dans un tournant Et mourut là-bas tandis qu'elle Riait au destin surprenant
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