Hier soir, sur la chaîne « Historia », une émission sur une équipe de Québécois ayant préparé une exposition à New York au moment du 11 septembre 2001, et ayant vécu les évènements, et sur une équipe de pompiers également québécois ayant participé aux recherches dans les gravats des Tours jumelles écroulées.
Quelle frayeur est encore la leur aujourd'hui : leur vie a changé définitivement.
Au point de vue historique, l'attentat contre ces Tours a également constitué un tournant dans l'histoire du monde, dont on ne sait pas encore ni l'ampleur ni où ses conséquences vont entraîner cette histoire.
On pourrait dire que, jusqu'à présent, à cause de George W Bush et de ses sbires étasuniens (Cheyney, Rumsfeld, Rice, etc.) et britanniques (Tony Blair notamment, dont on n'est pas étonné qu'il soit devenu catholique après sa démission), les choses ont été mal gérées et que leur suite a pris une tournure plus mauvaise que celle qu'on aurait pu espérer.
Je ne sais pas si on pourra dans l'avenir réparer les dégâts que cette mauvaise gestion a amenés.
Quoi qu'il en soit, à propos des Tours jumelles, mon frère, -Dominique Bouchard, professeur de photographie (et artiste sculpteur et peintre)- en avait pris une photo en noir et blanc lors d'un séjour à New York en avril 1991 (10 ans avant les évènements) et l'avait imprimée sur un papier spécial se colorisant d'une certaine manière avec le temps.
Il me l'avait offerte, encadrée.
Je vous en présente deux vues (au haut et au bas de cette note): remarquez le liséré rougeâtre, je dirais sanguinolent, tout autour de la photo: les naïfs premiers Chrétiens (ou les sectaires d'aujourd'hui) diraient qu'elle saigne et que c'est un signe de Dieu.
Je dirais pour ma part que c'est un étrange effet de l'art.
Je ne m'attends pas à une apparition des martyrs. Et je ne songe pas à transformer cette photo en une sorte de suaire de Turin.
Si on me disait cependant qu'un seul vœu prononcé devant elle plongerait Bush, Blair et leurs sbires, et les fanatiques musulmans auteurs des évènements du 11 septembre 2001 (et leurs innombrables commanditaires et partisans) dans des tourments éternels, je prononcerais volontiers ce vœu.
Je le prononce quoi qu'il en soit !
Quelle frayeur est encore la leur aujourd'hui : leur vie a changé définitivement.
Au point de vue historique, l'attentat contre ces Tours a également constitué un tournant dans l'histoire du monde, dont on ne sait pas encore ni l'ampleur ni où ses conséquences vont entraîner cette histoire.
On pourrait dire que, jusqu'à présent, à cause de George W Bush et de ses sbires étasuniens (Cheyney, Rumsfeld, Rice, etc.) et britanniques (Tony Blair notamment, dont on n'est pas étonné qu'il soit devenu catholique après sa démission), les choses ont été mal gérées et que leur suite a pris une tournure plus mauvaise que celle qu'on aurait pu espérer.
Je ne sais pas si on pourra dans l'avenir réparer les dégâts que cette mauvaise gestion a amenés.
Quoi qu'il en soit, à propos des Tours jumelles, mon frère, -Dominique Bouchard, professeur de photographie (et artiste sculpteur et peintre)- en avait pris une photo en noir et blanc lors d'un séjour à New York en avril 1991 (10 ans avant les évènements) et l'avait imprimée sur un papier spécial se colorisant d'une certaine manière avec le temps.
Il me l'avait offerte, encadrée.
Je vous en présente deux vues (au haut et au bas de cette note): remarquez le liséré rougeâtre, je dirais sanguinolent, tout autour de la photo: les naïfs premiers Chrétiens (ou les sectaires d'aujourd'hui) diraient qu'elle saigne et que c'est un signe de Dieu.
Je dirais pour ma part que c'est un étrange effet de l'art.
Je ne m'attends pas à une apparition des martyrs. Et je ne songe pas à transformer cette photo en une sorte de suaire de Turin.
Si on me disait cependant qu'un seul vœu prononcé devant elle plongerait Bush, Blair et leurs sbires, et les fanatiques musulmans auteurs des évènements du 11 septembre 2001 (et leurs innombrables commanditaires et partisans) dans des tourments éternels, je prononcerais volontiers ce vœu.
Je le prononce quoi qu'il en soit !
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