Dans un compte rendu (ici) de l'ouvrage «Les Réfugiés acadiens en France» de Jean-François Mouhot (historien français) publié aujourd'hui dans le journal «Le Devoir» par Michel Lapierre, une autre confirmation du fait que c'est en Nouvelle-France que la français a été, pour la première fois de l'histoire, la langue commune de tous les habitants, nobles ou manants, la langue de tout le peuple, alors qu'en France à peu près seuls les nobles, les ecclésiastiques et la riche bourgeoisie le parlaient.
Le droit d'aînesse n'est peut-être pas aboli en ce qui concerne la langue.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire