Le dimanche 14 septembre (2008 !). Nous sommes devant le Musée du Prado à Madrid. C'est seulement notre deuxième journée en Espagne. Nous arrivons d'une journée dans la belle Tolède où nous avons vu tant de Greco.
Nous faisons la queue avec quelques compagnes et compagnons de voyage et avec la foule espagnole qui s'étonne (seulement un peu et sans trop le montrer) d'entendre parler français.
Je regarde (nous regardons peut-être) cette statue de Velázquez assis. Nous la voyons surtout de côté.
Le soleil plombe mais c'est la fin de l'après-midi. Nous sommes à Madrid. Nous sommes au Prado et nous allons bientôt voir l'un des plus beaux tableaux du monde, celui dont j'ai tant parlé dans mes cours de « Théories littéraires ». Il est de Velázquez, celui qui est assis là sur son socle.
Ce tableau qu'il faut voir enfin puisque nous avons si peu de temps, mais aussi ceux de Goya peut-être.
Moment de bonheur devant ce beau musée, ce beau palais néo-classique de la fin du 18e siècle, Paseo del Prado, comme si l'un des buts de votre vie allait être bientôt atteint.
Un autre but après celui d'avoir vu Tolède, sur le Tage qui va jusqu'à Lisbonne (voir Lisbonne bientôt).
Nous faisons la queue avec quelques compagnes et compagnons de voyage et avec la foule espagnole qui s'étonne (seulement un peu et sans trop le montrer) d'entendre parler français.
Je regarde (nous regardons peut-être) cette statue de Velázquez assis. Nous la voyons surtout de côté.
Le soleil plombe mais c'est la fin de l'après-midi. Nous sommes à Madrid. Nous sommes au Prado et nous allons bientôt voir l'un des plus beaux tableaux du monde, celui dont j'ai tant parlé dans mes cours de « Théories littéraires ». Il est de Velázquez, celui qui est assis là sur son socle.
Ce tableau qu'il faut voir enfin puisque nous avons si peu de temps, mais aussi ceux de Goya peut-être.
Moment de bonheur devant ce beau musée, ce beau palais néo-classique de la fin du 18e siècle, Paseo del Prado, comme si l'un des buts de votre vie allait être bientôt atteint.
Un autre but après celui d'avoir vu Tolède, sur le Tage qui va jusqu'à Lisbonne (voir Lisbonne bientôt).
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