Cet été, la famille d'un vieil ami (je le connais depuis l'année de cette photo ci-haut, dont je vais vous parler) a organisé une fête pour son 65e anniversaire.
À cette occasion on a invité un certain nombre de ses parents et amis -ceux avec lesquels il avait entretenu une relation suivie- à composer un texte décrivant leur relation avec lui.
Ma femme -que cet ami compte aussi parmi ses amis- a composé un texte remarquable.
Je ne pouvais pas lui faire concurrence.
J'ai donc -comme on le fait parfois dans certains colloques scientifiques- préparé « une communication par affiche » sur un carton de présentation.
Cette « affiche » comptait 22 photos prises de 1960 à environ 2000.
Mon ami et sa femme avaient conservé l'affiche un certain temps mais ils l'ont rendue hier. Je l'ai parcourue et elle m'a semblé intéressante.
Je ne vous présenterai pas les 22 photos. Peut-être quelques-unes dont je pourrai tirer une idée ou une remarque qui vous intéressera mais sans obligation de ma part.
Je vous présente la photo ci-dessus parce que c'est une photo de classe, celle de la classe de « Méthode » (c'est le nom qu'on donnait à la troisième année du cours classique -première année où l'on étudiait le grec ancien) au Collège de Jonquière en 1960, avant le début de ce qu'on a appelé la « Révolution tranquille ».
Voyez notre professeur titulaire à droite, le Père André Denis, oblat de Marie-Immaculée: il est en soutane et porte le « col romain » car le concile de Vatican II n'avait pas encore eu lieu.
Nous les étudiants sommes en uniforme, -blazer marine (avec l'écusson du collège cousu sur la pochette à gauche), pantalon gris, chemise, cravate.
Je vous présente cette photo parce que j'ai l'impression qu'elle nous met en contact direct avec un temps disparu à jamais dont je suis un survivant.
(Au cas où vous désireriez le savoir je suis le premier de la deuxième rangée à gauche, celui avec une invraisemblable lèvre inférieure. Et l'ami dont il est question est à ma gauche).
À cette occasion on a invité un certain nombre de ses parents et amis -ceux avec lesquels il avait entretenu une relation suivie- à composer un texte décrivant leur relation avec lui.
Ma femme -que cet ami compte aussi parmi ses amis- a composé un texte remarquable.
Je ne pouvais pas lui faire concurrence.
J'ai donc -comme on le fait parfois dans certains colloques scientifiques- préparé « une communication par affiche » sur un carton de présentation.
Cette « affiche » comptait 22 photos prises de 1960 à environ 2000.
Mon ami et sa femme avaient conservé l'affiche un certain temps mais ils l'ont rendue hier. Je l'ai parcourue et elle m'a semblé intéressante.
Je ne vous présenterai pas les 22 photos. Peut-être quelques-unes dont je pourrai tirer une idée ou une remarque qui vous intéressera mais sans obligation de ma part.
Je vous présente la photo ci-dessus parce que c'est une photo de classe, celle de la classe de « Méthode » (c'est le nom qu'on donnait à la troisième année du cours classique -première année où l'on étudiait le grec ancien) au Collège de Jonquière en 1960, avant le début de ce qu'on a appelé la « Révolution tranquille ».
Voyez notre professeur titulaire à droite, le Père André Denis, oblat de Marie-Immaculée: il est en soutane et porte le « col romain » car le concile de Vatican II n'avait pas encore eu lieu.
Nous les étudiants sommes en uniforme, -blazer marine (avec l'écusson du collège cousu sur la pochette à gauche), pantalon gris, chemise, cravate.
Je vous présente cette photo parce que j'ai l'impression qu'elle nous met en contact direct avec un temps disparu à jamais dont je suis un survivant.
(Au cas où vous désireriez le savoir je suis le premier de la deuxième rangée à gauche, celui avec une invraisemblable lèvre inférieure. Et l'ami dont il est question est à ma gauche).
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