Définition de « conviction » : certitude que l’on a de la vérité d’un fait, d’un principe.
Il s'agit donc d'une opinion, d'une croyance, et que l'on devrait considérer comme telle, c'est-à-dire comme une hypothèse attendant d'être remplacée par une autre au moment où les connaissances (ou nos connaissances) se seront accrues.
Puisque nous n'avons jamais vraiment accès aux choses à cause de l'imperfection de nos sens et de notre esprit.
Il est donc dangereux de considérer ses convictions comme des vérités ; « Les convictions, écrit Nietzsche, sont des ennemis de la vérité plus dangereux que des mensonges. »
Ce que nous croyons voir, entendre, sentir, goûter, toucher n'est que le fruit d'une interprétation, fournie par d'autres ou forgée par nous.
C'est le principe de l'admirable philosophie de Nietzsche, dont voici un beau kaléidoscope (kaléidoscope du philosophe, pas de la philosophie qui est elle-même un kaléidoscope) :
Il s'agit donc d'une opinion, d'une croyance, et que l'on devrait considérer comme telle, c'est-à-dire comme une hypothèse attendant d'être remplacée par une autre au moment où les connaissances (ou nos connaissances) se seront accrues.
Puisque nous n'avons jamais vraiment accès aux choses à cause de l'imperfection de nos sens et de notre esprit.
Il est donc dangereux de considérer ses convictions comme des vérités ; « Les convictions, écrit Nietzsche, sont des ennemis de la vérité plus dangereux que des mensonges. »
Ce que nous croyons voir, entendre, sentir, goûter, toucher n'est que le fruit d'une interprétation, fournie par d'autres ou forgée par nous.
C'est le principe de l'admirable philosophie de Nietzsche, dont voici un beau kaléidoscope (kaléidoscope du philosophe, pas de la philosophie qui est elle-même un kaléidoscope) :
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