(Nota bene : Ce billet date d'avant la crise de 2008 mais est significatif).
Vous êtes comme moi titulaires de cartes de crédit.
Vous recevez comme moi des offres de chèques « pour payer vos achats là où on n'accepte pas les cartes de crédits ».
L'intention des compagnies émettrices de cartes est peut-être louable (et sans doute pas du tout altruiste : les temps sont difficiles et il faut quand même, comme on dit, « faire de l'argent »).
Mais ces compagnies pensent-elles vraiment que nous allons utiliser des chèques qui commandent un taux d'intérêts de 12,99%, comme ceux d'American Express que j'ai reçus ce matin ? Alors que j'en reçois qui commandent des taux de 3,99% dont je ne me sers même pas ?
Il faudrait être dans une bien mauvaise passe financière -ou vraiment un peu très snob- pour utiliser les chèques American Express.
Parfois je me prends à penser que les compagnies étasuniennes ne sont plus du tout adaptées à la mondialisation et qu'en projetant ainsi sur le monde l'état (catastrophique) du crédit des particuliers étasuniens elles courent rapidement vers la ruine.
C'est une sorte de loi darwinienne de l'offre financière et industrielle.
Peut-être les compagnies étasuniennes sont-elles, comme ceux dont elles financent les campagnes électorales, « créationnistes ».
En niant ainsi l'existence des dinosaures, peut-être connaîtront-elles le même sort que ceux-ci.
Vous êtes comme moi titulaires de cartes de crédit.
Vous recevez comme moi des offres de chèques « pour payer vos achats là où on n'accepte pas les cartes de crédits ».
L'intention des compagnies émettrices de cartes est peut-être louable (et sans doute pas du tout altruiste : les temps sont difficiles et il faut quand même, comme on dit, « faire de l'argent »).
Mais ces compagnies pensent-elles vraiment que nous allons utiliser des chèques qui commandent un taux d'intérêts de 12,99%, comme ceux d'American Express que j'ai reçus ce matin ? Alors que j'en reçois qui commandent des taux de 3,99% dont je ne me sers même pas ?
Il faudrait être dans une bien mauvaise passe financière -ou vraiment un peu très snob- pour utiliser les chèques American Express.
Parfois je me prends à penser que les compagnies étasuniennes ne sont plus du tout adaptées à la mondialisation et qu'en projetant ainsi sur le monde l'état (catastrophique) du crédit des particuliers étasuniens elles courent rapidement vers la ruine.
C'est une sorte de loi darwinienne de l'offre financière et industrielle.
Peut-être les compagnies étasuniennes sont-elles, comme ceux dont elles financent les campagnes électorales, « créationnistes ».
En niant ainsi l'existence des dinosaures, peut-être connaîtront-elles le même sort que ceux-ci.
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