Et il n'y a rien à ajouter je pense.
Peut-être commencer à réfléchir sur les femmes politiques, genre Josée Verner, une députée conservatrice dans une circonscription électorale riche de la ville de Québec, et ministre* de la culture et des médias (on résume cela par le mot «patrimoine»: il y a «pater» dans l'étymologie de ce mot, ce qui convient parfaitement à la situation) au gouvernement canadien jusqu'à tout récemment.
Son surnom serait, dans les milieux politiques québécois et canadiens, «il n'y a pas d'abonné au numéro que vous avez composé».
Un peu long comme surnom mais mérité me semble-t-il.
Pour contredire Coluche, je dirais qu'elle, comme femme politique, elle n'est pas bonne à rien: elle n'est prête à rien.
Voyez sa bonne bouille (je la place à droite pour une raison évidente):
* Un ministre, dans le gouvernement canadien de Stephen Harper, n'est pas tout à fait un ministre, du moins Josée Verner, entre autres, donnait cette impression. C'est un porte-voix, le porte-voix de son maître.
samedi 25 octobre 2008
Selon Coluche
heure 21:23:00
2 commentaires:
Homme politique c'est quatre ans de droit tout le reste de travers!
Avez-vous le film sur la candidature de Coluche au Quebec? Il vient de sortir en France et c'est un désastre...
Non. D'ailleurs Coluche est très peu connu au Québec.
Mais ses aphorismes demeurent très actuels et s'appliquent à tous les pays.
Comme le vôtre, dont je vous remercie.
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