Je voulais vous présenter les portes d'un des ascenseurs du «Chrysler Building» de New York mais je me suis laissé emporter par ma recherche.
Les portes, si belles, ce sera pour une autre fois (bientôt).
Je vous présente deux icônes de ces chefs-d'œuvre de l'architecture «Art déco» de New York, l'une qui m'avait sauté aux yeux lors du lent et long cheminement vers l'ascenseur à l'«Empire State Building», l'autre que je découvre sur la Toile car je n'ai vu que l'extérieur du «Chrysler Building» jusqu'à présent (il y a tant de choses à voir à New York qu'on doit parfois se reposer la nuque et regarder les choses qui se passent ou se situent au niveau des yeux et ne pas chercher à se rendre ailleurs qu'à l'endroit où l'on est).
Finalement je vous présente deux icônes de chacun des bâtiments, deux icônes qui constituent pour chacun une «mise en abyme» (vous voyez l'intérêt pour moi?) car elles sont contenues dans chacun d'eux à leur rez-de-chaussée.
La seconde, celle de l'«Empire State Building», trône, comme une représentation divine, sur le mur qui fait face à l'entrée du bâtiment.
L'icône du «Chrysler Building» fait partie d'une fresque peinte au plafond du hall d'entrée, comme une image d'un quelconque triomphe céleste dans les églises ou les palais baroques, ou comme un Christ Pantocrator dans les coupoles des églises orthodoxes.
Toutes deux veulent représenter le rayonnement, sur l'Amérique et le monde, du bâtiment qui les abrite et les protège.
Car ces bâtiments symbolisaient le salut que l'Amérique apportait au monde dans la voie de la modernité et de la prospérité.
Nouvelle religion un peu défraîchie par les temps qui courent.
Comme toutes les religions.
Voici une vue décentrée de l'icône de l'«Empire State Building»:
Les portes, si belles, ce sera pour une autre fois (bientôt).
Je vous présente deux icônes de ces chefs-d'œuvre de l'architecture «Art déco» de New York, l'une qui m'avait sauté aux yeux lors du lent et long cheminement vers l'ascenseur à l'«Empire State Building», l'autre que je découvre sur la Toile car je n'ai vu que l'extérieur du «Chrysler Building» jusqu'à présent (il y a tant de choses à voir à New York qu'on doit parfois se reposer la nuque et regarder les choses qui se passent ou se situent au niveau des yeux et ne pas chercher à se rendre ailleurs qu'à l'endroit où l'on est).
Finalement je vous présente deux icônes de chacun des bâtiments, deux icônes qui constituent pour chacun une «mise en abyme» (vous voyez l'intérêt pour moi?) car elles sont contenues dans chacun d'eux à leur rez-de-chaussée.
La seconde, celle de l'«Empire State Building», trône, comme une représentation divine, sur le mur qui fait face à l'entrée du bâtiment.
L'icône du «Chrysler Building» fait partie d'une fresque peinte au plafond du hall d'entrée, comme une image d'un quelconque triomphe céleste dans les églises ou les palais baroques, ou comme un Christ Pantocrator dans les coupoles des églises orthodoxes.
Toutes deux veulent représenter le rayonnement, sur l'Amérique et le monde, du bâtiment qui les abrite et les protège.
Car ces bâtiments symbolisaient le salut que l'Amérique apportait au monde dans la voie de la modernité et de la prospérité.
Nouvelle religion un peu défraîchie par les temps qui courent.
Comme toutes les religions.
Voici une vue décentrée de l'icône de l'«Empire State Building»:
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