C'est la façade du pavillon Adrien-Pouliot* à l'Université Laval.
La mosaïque qui l'orne est de l'artiste catalan Jordi Bonet, immigré au Québec durant la décennie précédente et qui a semé des œuvres un peu partout au Québec (je me souviens d'une mosaïque de lui au Collège de Jonquière et je me souviens avoir vu l'artiste y travailler un jour que je passais par là).
Celle du pavillon Adrien-Pouliot est intitulée « L'homme devant la science » et représente un homme donnant un élan à un oiseau pour qu'il s'envole dans l'espace.
Pour moi ce bâtiment est surtout celui de la librairie des Presses de l'Université Laval où je passais de longues heures deux ou trois fois par semaine à parcourir les rayons, à regarder les jaquettes et à respirer l'odeur des livres, parfois à en lire quelques lignes pour voir si j'allais économiser pour l'acheter.
* Ce pavillon a été nommé en l'honneur d'Adrien Pouliot, un mathématicien québécois dont mon beau-père -qui est chimiste- m'a beaucoup parlé puisque celui-ci avait été son professeur dans les années quarante.
La mosaïque qui l'orne est de l'artiste catalan Jordi Bonet, immigré au Québec durant la décennie précédente et qui a semé des œuvres un peu partout au Québec (je me souviens d'une mosaïque de lui au Collège de Jonquière et je me souviens avoir vu l'artiste y travailler un jour que je passais par là).
Celle du pavillon Adrien-Pouliot est intitulée « L'homme devant la science » et représente un homme donnant un élan à un oiseau pour qu'il s'envole dans l'espace.
Pour moi ce bâtiment est surtout celui de la librairie des Presses de l'Université Laval où je passais de longues heures deux ou trois fois par semaine à parcourir les rayons, à regarder les jaquettes et à respirer l'odeur des livres, parfois à en lire quelques lignes pour voir si j'allais économiser pour l'acheter.
* Ce pavillon a été nommé en l'honneur d'Adrien Pouliot, un mathématicien québécois dont mon beau-père -qui est chimiste- m'a beaucoup parlé puisque celui-ci avait été son professeur dans les années quarante.
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