C'est la vitrine d'une boutique de vêtements et accessoires ecclésiastiques à Rome.
Avant de visiter cette ville on ne peut imaginer pareilles boutiques ayant façade sur rue mais la population des ecclésiastique est si grande à Rome qu'elle permet à de telles boutiques de faire des bénéfices, de se faire concurrence et de proliférer.
Et comme dans le monde de la mode non ecclésiastique, il y a des boutiques plus chic, appartenant parfois à des maisons de haute couture, et d'autres comme celle dont vous voyez la vitrine.
Comme il y a des prélats de haut rang et le menu fretin épiscopal.
Les tissus des uns sont d'une grande finesse et ceux des autres plus frustes.
Imaginez où Jésus-Christ ferait ses emplettes.
Si vous le faites vous pourrez mesurer un peu la distance spirituelle qu'il y a entre lui et les dirigeants de cette église qui le présente comme son fondateur.
La même distance existe évidemment entre le niveau de vie qui était celui de Jésus-Christ et le niveau de vie qui a toujours été celui des prélats romains.
Avant de visiter cette ville on ne peut imaginer pareilles boutiques ayant façade sur rue mais la population des ecclésiastique est si grande à Rome qu'elle permet à de telles boutiques de faire des bénéfices, de se faire concurrence et de proliférer.
Et comme dans le monde de la mode non ecclésiastique, il y a des boutiques plus chic, appartenant parfois à des maisons de haute couture, et d'autres comme celle dont vous voyez la vitrine.
Comme il y a des prélats de haut rang et le menu fretin épiscopal.
Les tissus des uns sont d'une grande finesse et ceux des autres plus frustes.
Imaginez où Jésus-Christ ferait ses emplettes.
Si vous le faites vous pourrez mesurer un peu la distance spirituelle qu'il y a entre lui et les dirigeants de cette église qui le présente comme son fondateur.
La même distance existe évidemment entre le niveau de vie qui était celui de Jésus-Christ et le niveau de vie qui a toujours été celui des prélats romains.
2 commentaires:
En plus de cette différence marquée si éloignée de l' esprit de pauvreté que vous soulignez,Je suis impressionnée par l' absence de beauté des vêtements sacerdotaux, ou ils sont surchargés et de mauvais goût ou ils sont dépouillés et sont sinistres comme des linceuls, celui de la photo ressemble à un revêtement de catafalque!
Sans femme pour les guider, ces hommes n'ont sans doute pas bons goûts.
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