C'est un poème en Inuktitut dont je ne saurais rien vous lire, stupide descendant des envahisseurs européens que je suis (à 97 ou 98%, les 2 ou 3% amérindiens restants ayant idiotement oublié ou négligé d'apprendre la ou les langue(s) de ses ancêtres).
Je ne peux même pas lire le nom de l'auteur, qui vit évidemment au Nunavik.
(Peut-être Imili Tuluqa, si j'utilise la table de transcription ci-dessous, sans doute «Émilie» en français, mais «Imili» est joli):
Considérons cela comme des hiéroglyphes ou de l'écriture cunéiforme et admirons-en l'étrangeté sémiotique.
Ces signes transcrivent une des langues des véritables possesseurs de ce que nous appelons le « Nouveau Monde », auxquels nous l'avons volé ignominieusement.
Le poème est gravé sur l'un des sièges de l'œuvre de Michel Goulet dont je vous ai parlé ici.
Je ne peux même pas lire le nom de l'auteur, qui vit évidemment au Nunavik.
(Peut-être Imili Tuluqa, si j'utilise la table de transcription ci-dessous, sans doute «Émilie» en français, mais «Imili» est joli):
Considérons cela comme des hiéroglyphes ou de l'écriture cunéiforme et admirons-en l'étrangeté sémiotique.
Ces signes transcrivent une des langues des véritables possesseurs de ce que nous appelons le « Nouveau Monde », auxquels nous l'avons volé ignominieusement.
Le poème est gravé sur l'un des sièges de l'œuvre de Michel Goulet dont je vous ai parlé ici.
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