Dans ce livre, « Les Carnets secrets d'Agatha Christie », traduit récemment en français, la romancière prête une réflexion à Hercule Poirot, son héros favori (photo ci-dessous), pour lequel cependant elle n'a pas beaucoup de sympathie puisqu'il n'est pas britannique.
C'est une réflexion sur les grands leaders ou les grands orateurs, c'est-à-dire (cette réflexion date de 1939, au moment où le « grand leader », le « grand orateur » Hitler va mener le monde à la catastrophe) sur les hommes politiques en général, surtout les plus grands d'entre eux :
[...] les hommes doués d'une grande intelligence étaient rarement de grands leaders ou de grands orateurs. Peut-être parce qu'ils étaient trop malins pour se laisser prendre à leurs propres discours.
Voyant les politiciens s'agiter comme des bouffons récemment lors des élections fédérales du Canada, -voire de manière permanente, en dehors des périodes d'élections, et pas seulement au Canada ou au Québec, des bouffons vous dis-je-, je ne suis pas loin de penser comme Hercule Poirot (et la chère Agatha ?), que les hommes intelligents ne vont pas en politique, ils n'ont pas l'étoffe comique pour être des politiciens.
Et, si certains hommes politiques sont intelligents, c'est par hasard qu'ils sont élus, ou à la suite d'un malentendu.
C'est sous cet aspect que je connais Hercule Poirot mais je vous présente cette photo à cause de la police de caractère « Art déco » avec laquelle on a écrit son nom (peut-être « Bernhard Fashion Roman »).Hercule Poirot est un « héros » de cette époque.
C'est une réflexion sur les grands leaders ou les grands orateurs, c'est-à-dire (cette réflexion date de 1939, au moment où le « grand leader », le « grand orateur » Hitler va mener le monde à la catastrophe) sur les hommes politiques en général, surtout les plus grands d'entre eux :
[...] les hommes doués d'une grande intelligence étaient rarement de grands leaders ou de grands orateurs. Peut-être parce qu'ils étaient trop malins pour se laisser prendre à leurs propres discours.
Voyant les politiciens s'agiter comme des bouffons récemment lors des élections fédérales du Canada, -voire de manière permanente, en dehors des périodes d'élections, et pas seulement au Canada ou au Québec, des bouffons vous dis-je-, je ne suis pas loin de penser comme Hercule Poirot (et la chère Agatha ?), que les hommes intelligents ne vont pas en politique, ils n'ont pas l'étoffe comique pour être des politiciens.
Et, si certains hommes politiques sont intelligents, c'est par hasard qu'ils sont élus, ou à la suite d'un malentendu.
C'est sous cet aspect que je connais Hercule Poirot mais je vous présente cette photo à cause de la police de caractère « Art déco » avec laquelle on a écrit son nom (peut-être « Bernhard Fashion Roman »).Hercule Poirot est un « héros » de cette époque.
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