
(À quoi bon le nommer, il est interchangeable avec n'importe quel communiste chinois dont il parle la langue de meurtre).
(Je crois qu'il méritait une beaucoup plus vieille chaussure : une godasse comme sa tête).
L'étudiant voulait ainsi montrer sa désapprobation devant la libre parole qu'on avait accordée à un tel gibier de dictature.
Liberté que la dictature -chinoise ou religieuse- n'accorde jamais entre ses murs, ou alors devant des auditoires choisis.
J'espère qu'elle se répandra et changera le monde cette «révolte des chaussures», initiée par Nouri al-Maliki, ce journaliste irakien, contre G. W. Bush.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire