Cette chaussure c'est celle qu'un jeune étudiant britannique a lancée en direction du premier ministre chinois qui s'adressait à un auditoire formé majoritairement de ses compatriotes étudiants en Grande-Bretagne (donc des enfants de la nomenklatura chinoise qui, seuls, peuvent étudier à l'étranger).
(À quoi bon le nommer, il est interchangeable avec n'importe quel communiste chinois dont il parle la langue de meurtre).
(Je crois qu'il méritait une beaucoup plus vieille chaussure : une godasse comme sa tête).
L'étudiant voulait ainsi montrer sa désapprobation devant la libre parole qu'on avait accordée à un tel gibier de dictature.
Liberté que la dictature -chinoise ou religieuse- n'accorde jamais entre ses murs, ou alors devant des auditoires choisis.
J'espère qu'elle se répandra et changera le monde cette «révolte des chaussures», initiée par Nouri al-Maliki, ce journaliste irakien, contre G. W. Bush.
(À quoi bon le nommer, il est interchangeable avec n'importe quel communiste chinois dont il parle la langue de meurtre).
(Je crois qu'il méritait une beaucoup plus vieille chaussure : une godasse comme sa tête).
L'étudiant voulait ainsi montrer sa désapprobation devant la libre parole qu'on avait accordée à un tel gibier de dictature.
Liberté que la dictature -chinoise ou religieuse- n'accorde jamais entre ses murs, ou alors devant des auditoires choisis.
J'espère qu'elle se répandra et changera le monde cette «révolte des chaussures», initiée par Nouri al-Maliki, ce journaliste irakien, contre G. W. Bush.
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