Un tel panneau semble très exotique à quelqu'un comme moi qui n'ai jamais vu d'animal sauvage de cette espèce en liberté (ou même en captivité).Est-ce un sanglier ? Je ne sais pas. Mais ce qu'il a à côté du museau semble fort coupant et dangereux.
Les caractères non latins qu'on a tracés sous son image ne me rassurent pas non plus (transcrivent-ils du coréen ou du japonais ?)
Et puis je m'avise que les panneaux québécois doivent aussi sembler fort exotiques aux étrangers.
Même la langue qu'on y utilise.
Et que les panneaux de ce genre sur les routes de tous les pays sont un excellent moyen de connaître les espèces considérées comme dangereuses pour la circulation automobile dans chacun d'entre eux.
Voici donc les espèces dangereuses du Québec et quelques-uns des panneaux qui mettent les automobilistes en garde contre leurs représentants.
Contre les orignaux (ce sont les plus nombreux dans ma région) :
Contre les chevreuils (il y a un autre panneau dont je n'ai trouvé aucune photo aujourd'hui et comme il n'y a pas de chevreuils dans ma région, je n'ai pas pu en photographier un pour vous. Ce n'est que partie remise) :
Il n'y a rien contre les porcs-épics, mouffettes et autres ratons laveurs. Ils ne doivent pas être considérés comme dangereux pour la circulation automobile.Ce qui m'étonne !
Car sur les routes, de nos jours, il y a aussi des vélos, des motos. Les animaux qui sont dangereux pour ces véhicules diffèrent de ceux qui sont dangereux pour les automobiles.
On le voit, les routes sont encore le royaume de l'automobile.
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