S'il n'avait pas préfacé l'édition de discours du dictateur catholique portugais Salazar et s'il ne s'était pas opposé à la flamandisation (ou néerlandisation) de l'Université de Gand, pourtant située dans la partie flamande de la Belgique, je dirais que Maurice Maeterlinck faisait preuve de jugement en écrivant que « la peur de la mort est la source des religions ».
Que diable allait-il faire dans la galère d'un dictateur qui utilisait la religion catholique pour maintenir le peuple portugais dans l'ignorance et la pauvreté (comme les conquérants anglais et l'Église catholique l'ont fait au Québec jusqu'en 1960) ?
Pourquoi était-il opposé, lui, Flamand d'origine, au mouvement par lequel le peuple flamand cherchait à mettre un frein aux entreprises qui visaient sa disparition depuis plusieurs siècles (mouvement identique à celui par lequel les Québécois cherchent à se libérer) ?
Où se situe le vrai Maeterlinck ?
Cette phrase serait-elle un diamant dans un océan de boue?
Que diable allait-il faire dans la galère d'un dictateur qui utilisait la religion catholique pour maintenir le peuple portugais dans l'ignorance et la pauvreté (comme les conquérants anglais et l'Église catholique l'ont fait au Québec jusqu'en 1960) ?
Pourquoi était-il opposé, lui, Flamand d'origine, au mouvement par lequel le peuple flamand cherchait à mettre un frein aux entreprises qui visaient sa disparition depuis plusieurs siècles (mouvement identique à celui par lequel les Québécois cherchent à se libérer) ?
Où se situe le vrai Maeterlinck ?
Cette phrase serait-elle un diamant dans un océan de boue?
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