Cette page couverture du New Yorker est sans doute une excellente représentation de l'entrée dans la vie active des diplômés universitaires dans le monde d'aujourd'hui.
Pas à mon époque car le Québec était alors en rattrapage d'un siècle de domination ecclésiastique et d'ignorance. Tous les diplômés ou presque avaient un emploi.
Mais aujourd'hui on dirait que tout diplômé est né trop tard dans un monde trop vieux.
La rame de métro est pleine, il n'y a plus de place.
Reste la possibilité de sortir de la station et de marcher à son propre pas pour créer ce qui n'existe pas.
Destin incertain des nouvelles générations!
P.S. Quelqu'un me signale que le fait que ce soit une diplômée qui veut monter dans le train de la vie active rend la page plus significative encore.
mardi 26 juillet 2011
Il n'y a plus de place
heure 00:02:00
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