Le séduisant cowboy républicain d'Hollywood
qui souffrait peut-être des premières atteintes
de la maladie d'Alzheimer
lors de son élection à la présidence des États-Unis.
qui souffrait peut-être des premières atteintes
de la maladie d'Alzheimer
lors de son élection à la présidence des États-Unis.
Dans sa plus récente chronique du magazine «Le Point» (chronique que vous trouverez là), où il appelle Madoff «l'homme de l'annus horribilis» (c'est le nom -l'année horrible- que notre reine Élizabeth -qui a manifestement des lettres latines contrairement à nos premiers ministres anglophones- donnait à l'année de la séparation (entre autres malheurs) de la princesse Diana et du Prince Charles), Franz-Olivier Giesbert fait ce voeu, après avoir caractérisé les agissements de Madoff et (je crois) de tous les financiers dont vous et moi avons entendu prononcer le nom:
Comme tous les goinfres du néolibéralisme, Madoff nous a fait prendre, entre deux bonnes oeuvres, des vessies pour des lanternes. Puisse sa chute signer la mort définitive d'un monde de châteaux de cartes financiers où, pour être performantes sur les marchés, les entreprises ne devaient plus avoir ni salariés, ni usines, ni même... clients.
Il souhaite ainsi que prenne fin l'ère Reagan et ses «reaganomics» dont nous souffrons depuis le début des années quatre-vingt.
Espérons que les États-Unis ont suffisamment perdu de leur suprématie dans l'aventure pour que le monde ne soit plus jamais entraîné par eux dans les abîmes où ils aiment tant se précipiter.
Avec eux on n'a même plus besoin des communistes pour créer une pénurie de sable dans le Sahara, selon le mot de Coluche.
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