Voici -dans la vidéo ci-dessous- la sémillante Arielle Dombasle qui joue à la «vamp» des années cinquante (la décennie de la fin de mon enfance et du début de mon adolescence: je la symbolise, cette décennie, par les grosses lèvres rouges et pulpeuses en haut et, à gauche, par Marilyn Monroe dans sa célèbre scène sur une bouche d'aération à New York).
Pour essayer de rendre l'illusion la plus parfaite possible, Madame Dombasle interprète une autre de ces chansons hispaniques que j'aime, à l'égal de Besame Mucho, Perfidia (article en anglais sur cette chanson) dont le succès date aussi de ces années d'or des États-Unis, le sommet de leur puissance. Mais alors, ce pays, on pouvait, pour caractériser son attitude, réciter à son sujet le vers de Pierre Corneille dans Cinna:
Car après il y a eu Cuba, le Viet-Nam, Pinochet et le Chili et tant d'autres interventions non réfléchies et ratées de telle sorte qu'on voit qu'on n'a pas affaire à Rome mais à Carthage et qu'on se demande avec angoisse si la Chine, ce pays de massacreurs, ne sera pas Rome.
Voici la vidéo de la chanson et les paroles espagnoles (que l'interprétation de Madame Dombasle me semble avoir beaucoup modifiées):
Puisque Madame Dombasle ne désire pas que son interprétation de la chanson soit entendue, voici celle de Nat King Cole (que je préfère):
Pour essayer de rendre l'illusion la plus parfaite possible, Madame Dombasle interprète une autre de ces chansons hispaniques que j'aime, à l'égal de Besame Mucho, Perfidia (article en anglais sur cette chanson) dont le succès date aussi de ces années d'or des États-Unis, le sommet de leur puissance. Mais alors, ce pays, on pouvait, pour caractériser son attitude, réciter à son sujet le vers de Pierre Corneille dans Cinna:
Et, monté sur le faîte, il aspire à descendre.
Car après il y a eu Cuba, le Viet-Nam, Pinochet et le Chili et tant d'autres interventions non réfléchies et ratées de telle sorte qu'on voit qu'on n'a pas affaire à Rome mais à Carthage et qu'on se demande avec angoisse si la Chine, ce pays de massacreurs, ne sera pas Rome.
Voici la vidéo de la chanson et les paroles espagnoles (que l'interprétation de Madame Dombasle me semble avoir beaucoup modifiées):
Puisque Madame Dombasle ne désire pas que son interprétation de la chanson soit entendue, voici celle de Nat King Cole (que je préfère):
Mujer
si puedes tú con Dios hablar
pregúntale si yo alguna vez
te he dejado de adorar
alma espejo de mi corazón
las veces que me ha visto llorar
la perfidia de tu amor
He buscado por doquiera
que yo voy y no te puedo hallar
para qué quiero otros besos
si tus labios no me quieren ya besar
y tú quien sabe por dónde andarás
quien sabe que aventura tendrás
que lejos que estás de mí
He buscado por doquiera
que yo voy y no te puedo hallar
para qué quiero otros besos
si tus lasbios no me quieren
ya besar
Y tú quien sabe
por dónde andarás
quien sabe que aventura tendrás
que lejos que estás de mí de mí
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