vendredi 13 mars 2009
Infini emprisonnement
Jolie mise en abyme: la burqa*, devant, reprise par les barreaux derrière (deux rangées, des bleus et des rouges, et qui se terminent par de viriles pointes de flèches, pas innocentes): double (triple?) emprisonnement.
Et il y a sans doute autour des hommes qu'on ne voit pas et qui surveillent.
Avec des yeux comme des poignards.
Combien d'emprisonnements en tout?
C'est une photo du journal «Libération».
Si au moins ce n'était qu'un déguisement, un costume de théâtre.
Son port nous permettrait de nous «purger» de nos sentiments véritables et (toujours, vraiment toujours) condamnables.
Ou si c'était simplement du folklore. Pour nous faire apprécier la différence.
Mais c'est RÉEL.
Et cela se passe maintenant à Kaboul dont les talibans auraient été chassés.
Imaginez quand ils reviendront.
Tant que de tels vêtements existeront, ce sont tous les habitants de la Terre qui seront emprisonnés.
* Cette burqa devrait être bleue comme dans la photo ci-dessous, et brodée comme vous voyez. Mais cette femme est sans doute trop pauvre (elle quête sur la photo) et doit se contenter de sa blanche, qu'on l'a sans doute obligé à payer de ses derniers sous, sous peine de mort ET de damnation (l'enfer musulman réclame sa majorité de femmes, souvenez-vous).
D'ailleurs ces burqas bleues sur la photo sont indécentes, ne croyez-vous pas? On aperçoit de la peau, des sourcils, des yeux, que sais-je encore? Ces femmes voudraient-elles se faire passer pour des humains? Peut-être méritent-elles la lapidation.
heure 16:35:00
3 commentaires:
Et oui, il existe toutes sortes de férules où le mâle dominant tient le femme emprisonnée.
Le mâle n'est pas dominant par lui-même, ce sont les religions et des lois rétrogrades qui le rendent tels.
Effacez le «s» de «tels» s'il vous plaît. Quoique... ce qui convient grammaticalement ne convient peut-être pas dans la réalité. Car le mâle est pluriel.
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