Je suis en train de lire le numéro de la revue Historia dont la page couverture apparaît ci-dessus.
Vous voyez de quoi il est question dans ce numéro.
C'est fou la quantité de sottises que des gens présentés d'habitude comme intelligents, voire même brillants (particulièrement Augustin d'Hippone -connu sous le tire manifestement immérité de saint Augustin, sot d'entre les sots, considéré pourtant comme l'un des « Pères de l'Église » et inspirateur principal de Luther et de Jansénius), ont pu dire sur une présumée vie après la mort.
Une sottise entre autres que je brûle (d'ores et déjà car c'est sans doute ma destinée après la mort de brûler si tous ces sots ont raison -mais j'en doute fort) de vous apprendre : selon la tradition et les écrits musulmans sur l'enfer, les femmes, là aussi, y sont séparées des hommes et, cerise sur le gâteau, elles constituent la majorité des humains qui sont en enfer.
Inférieures durant la vie et majoritairement damnées après la mort, quel horrible destin que celui des femmes dans l'Islam.
Et une question se pose : où prendra-t-on les houris (page en anglais au bout de ce lien) qui sont censées donner des plaisirs sexuels éternels aux martyrs de la foi?
Je me demande comment tant de femmes (et d'hommes aussi bien) peuvent encore croire en une religion dont certaines croyances -sinon toutes- sont manifestement si sottes.
(Je rappelle que les Musulmans croient, entre autres sottises et comme les Catholiques, que Marie était vierge quand elle a donné naissance à Jésus. Y en a-t-il qui croient que son hymen ne s'est pas rompu à cette occasion ?)
Toute croyance est manifestement irrationnelle, c'est-à-dire indépendante de l'intelligence.
Séparée hermétiquement de l'intelligence.
Je rapporterai ultérieurement des sottises énoncées par des Chrétiens et des Juifs.
Certaines (sinon toutes) sont plus stupides encore que celle-là que croient les Musulmans.
Et elles portent aussi bien sur le paradis que sur l'enfer.
Vous voyez de quoi il est question dans ce numéro.
C'est fou la quantité de sottises que des gens présentés d'habitude comme intelligents, voire même brillants (particulièrement Augustin d'Hippone -connu sous le tire manifestement immérité de saint Augustin, sot d'entre les sots, considéré pourtant comme l'un des « Pères de l'Église » et inspirateur principal de Luther et de Jansénius), ont pu dire sur une présumée vie après la mort.
Une sottise entre autres que je brûle (d'ores et déjà car c'est sans doute ma destinée après la mort de brûler si tous ces sots ont raison -mais j'en doute fort) de vous apprendre : selon la tradition et les écrits musulmans sur l'enfer, les femmes, là aussi, y sont séparées des hommes et, cerise sur le gâteau, elles constituent la majorité des humains qui sont en enfer.
Inférieures durant la vie et majoritairement damnées après la mort, quel horrible destin que celui des femmes dans l'Islam.
Et une question se pose : où prendra-t-on les houris (page en anglais au bout de ce lien) qui sont censées donner des plaisirs sexuels éternels aux martyrs de la foi?
Je me demande comment tant de femmes (et d'hommes aussi bien) peuvent encore croire en une religion dont certaines croyances -sinon toutes- sont manifestement si sottes.
(Je rappelle que les Musulmans croient, entre autres sottises et comme les Catholiques, que Marie était vierge quand elle a donné naissance à Jésus. Y en a-t-il qui croient que son hymen ne s'est pas rompu à cette occasion ?)
Toute croyance est manifestement irrationnelle, c'est-à-dire indépendante de l'intelligence.
Séparée hermétiquement de l'intelligence.
Je rapporterai ultérieurement des sottises énoncées par des Chrétiens et des Juifs.
Certaines (sinon toutes) sont plus stupides encore que celle-là que croient les Musulmans.
Et elles portent aussi bien sur le paradis que sur l'enfer.
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