Ci-haut (et en bas) le bandeau coloré que je consacre à la peintre et sculpteure Marcelle Ferron.
Voici l'histoire qui concerne celle-ci.
Il y a deux semaines, paraît un article dans « Le Devoir » (ici) sur Luc Plamondon et la représentation de «Starmania» (qu'il a composée avec Michel Berger dans les années 80) sous la forme « opéra ».
(Ma femme est allé le voir à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts pendant notre séjour à Montréal et elle lui consacrera bientôt une note dont je vous signalerai l'adresse quand elle la publiera. Moi je préfère la version « comédie musicale » ou « opéra rock » et je ne suis pas allé à cette représentation).
Une photo (de Pedro Ruiz) illustrait cet article.
La voici, un peu arrangée par moi :
Sur cette photo mon œil a été attiré par une toile -vraiment magnifique avec cet ovale vertical noir sur fond jaune, comme un idéogramme chinois- de Marcelle Ferron -qui tient une grande place dans l'art québécois- et je me suis souvenu qu'elle avait décoré de vitraux certaines stations du métro de Montréal (Champ-de-Mars et Vendôme).
Comme nous allions séjourner 4 ou 5 jours dans la métropole, je me suis promis d'aller revoir ces vitraux.
Voici ceux de la station Champ-de-Mars (la photo n'est pas de moi car je n'ai pas réussi les miennes et celle que je vous présente permettra à ceux et celles de mes visiteurs qui ne connaissent pas le métro de Montréal d'en avoir un aperçu) :
Et voici une photo des vitraux de la station Vendôme (la sculpture devant ceux-ci est également de Marcelle Ferron):
Et puis, surprise car je ne m'en souvenais pas, un autre vitrail au Musée des beaux-arts en revenant de voir l'exposition Van Dongen, la salle où sont exposées quelques œuvres de Betty Goodwin et l'exposition consacrée à la collection d'œuvres concernant Napoléon Bonaparte de Ben Weider.
Le voici :
J'aurais pu aussi vous présenter le vitrail que Marcelle Ferron a consacré à l'Holocauste à l'Université Concordia mais je n'ai pas pu aller le contempler malgré le désir que j'en avais. Je vous le présenterai un jour car il est magnifique.
Couleurs, couleurs, couleurs que l'œuvre de Marcelle Ferron, répandues dans la ville mais comme souterrainement (évidemment dans le métro) ou à l'intérieur. Couleurs dissimulées.
Dont les bâtiments devraient se couvrir -extérieurement- dans cette ville, dans ce pays, blancs, blancs, blancs, neige, neige, neige, presque tout le temps.
Montréal deviendrait la ville des couleurs émergeant du blanc.
Voici l'histoire qui concerne celle-ci.
Il y a deux semaines, paraît un article dans « Le Devoir » (ici) sur Luc Plamondon et la représentation de «Starmania» (qu'il a composée avec Michel Berger dans les années 80) sous la forme « opéra ».
(Ma femme est allé le voir à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts pendant notre séjour à Montréal et elle lui consacrera bientôt une note dont je vous signalerai l'adresse quand elle la publiera. Moi je préfère la version « comédie musicale » ou « opéra rock » et je ne suis pas allé à cette représentation).
Une photo (de Pedro Ruiz) illustrait cet article.
La voici, un peu arrangée par moi :
Sur cette photo mon œil a été attiré par une toile -vraiment magnifique avec cet ovale vertical noir sur fond jaune, comme un idéogramme chinois- de Marcelle Ferron -qui tient une grande place dans l'art québécois- et je me suis souvenu qu'elle avait décoré de vitraux certaines stations du métro de Montréal (Champ-de-Mars et Vendôme).
Comme nous allions séjourner 4 ou 5 jours dans la métropole, je me suis promis d'aller revoir ces vitraux.
Voici ceux de la station Champ-de-Mars (la photo n'est pas de moi car je n'ai pas réussi les miennes et celle que je vous présente permettra à ceux et celles de mes visiteurs qui ne connaissent pas le métro de Montréal d'en avoir un aperçu) :
Cette photo date déjà car le bout nord de la ligne orange
n'est plus la station Henri-Bourassa mais la station Montmorency
comme on voit sur le plan ci-dessous.
n'est plus la station Henri-Bourassa mais la station Montmorency
comme on voit sur le plan ci-dessous.
Et voici une photo des vitraux de la station Vendôme (la sculpture devant ceux-ci est également de Marcelle Ferron):
Et puis, surprise car je ne m'en souvenais pas, un autre vitrail au Musée des beaux-arts en revenant de voir l'exposition Van Dongen, la salle où sont exposées quelques œuvres de Betty Goodwin et l'exposition consacrée à la collection d'œuvres concernant Napoléon Bonaparte de Ben Weider.
Le voici :
J'aurais pu aussi vous présenter le vitrail que Marcelle Ferron a consacré à l'Holocauste à l'Université Concordia mais je n'ai pas pu aller le contempler malgré le désir que j'en avais. Je vous le présenterai un jour car il est magnifique.
Couleurs, couleurs, couleurs que l'œuvre de Marcelle Ferron, répandues dans la ville mais comme souterrainement (évidemment dans le métro) ou à l'intérieur. Couleurs dissimulées.
Dont les bâtiments devraient se couvrir -extérieurement- dans cette ville, dans ce pays, blancs, blancs, blancs, neige, neige, neige, presque tout le temps.
Montréal deviendrait la ville des couleurs émergeant du blanc.
2 commentaires:
Cette artiste remarquable illustre à merveille la beauté sobre et gratuite de l' art pour l'art, qui se trouve là où on ne l' attend pas,notre métro parisien offre parfois des rencontres insolites, le vôtre est intrinsèquement étonnant.
As-tu remarqué aussi l'étrange ressemblance entre l'ovale de Marcelle Ferron et celui de mon flacon de parfum Paloma Picasso? Une image ici
Denise
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