C'est ce qui fait la richesse de la lecture ou de l'écoute : on crée au moins la moitié (sinon davantage) de ce qu'on lit ou de ce qu'on entend.
J'ajouterais : de ce qu'on voit et de ce qu'on sent.
Plus idéaliste que Montaigne je dirais que ce que nous percevons n'est qu'une matière de base que nous élaborons dans des proportions infinies.
Aussi, je dirai, à la Montaigne : ne m'attribue pas ou ne me reproche pas, lecteur, ce que tu lis dans mes billets car c'est peut-être toi qui l'y mets (à ton avantage si c'est intelligent, à ton désavantage si ce ne l'est pas).
J'ajouterais : de ce qu'on voit et de ce qu'on sent.
Plus idéaliste que Montaigne je dirais que ce que nous percevons n'est qu'une matière de base que nous élaborons dans des proportions infinies.
Aussi, je dirai, à la Montaigne : ne m'attribue pas ou ne me reproche pas, lecteur, ce que tu lis dans mes billets car c'est peut-être toi qui l'y mets (à ton avantage si c'est intelligent, à ton désavantage si ce ne l'est pas).
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