Un « Grand Rabbin », comme un pape et toute la déclinaison du clergé chrétien (y compris les pasteurs de toute obédience), comme un ayatollah et toute la déclinaison du clergé chiite, comme le dalaï-lama et toute la déclinaison des lamas, est un de ces humains qui prétendent faire parler Dieu.
Or Dieu ne parle pas.
On lui fait donc dire des choses en invoquant des livres qui auraient été écrits sous sa dictée par ... des humains, des livres qu'on déclare sacrés.
J'imagine que, dans leur for intérieur, ces humains qui font parler Dieu souffrent parfois (peut-être toujours) du complexe de l'imposteur.
Du moins ils le devraient : faire parler Dieu, quelle prétention orgueilleuse !
Quel insoutenable orgueil que de la soutenir !
Ces humains cherchent donc des appuis extérieurs à leur prétention.
Ici le « Grand Rabbin » cherche un diplôme prestigieux ou une reconnaissance scientifique éclatante, en affirmant à tort les détenir, ou en empruntant leurs réflexions à des penseurs reconnus.
Mais cette recherche peut aussi prendre d'autres formes : se couvrir d'or (couronnes, bagues, accessoires, etc.) et de vêtements somptueux comme les papes, évêques et archevêques, ou se laisser pousser une barbe patriarcale, ou vêtir une robe orange ou jaune ou noire.
Que sais-je encore ?
Qu'importe, il s'agit toujours d'acquérir des appuis extérieurs pour combler la béance de l'imposture qu'on ressent à l'intérieur de soi quand on prétend faire parler Dieu et quand on traite ainsi celui-ci comme une sorte de marionnette ou de pantin dont on est le ventriloque.
Là est l'explication des mensonges du « Grand Rabbin ».
Les autres qui ont les mêmes fonctions que lui dans d'autres religions que la sienne s'arrangent pour mentir sans parler.
« Moi, mentir ? Mais je n'ai rien dit ... »
(L'article de la « Libre Belgique » est ici).
Or Dieu ne parle pas.
On lui fait donc dire des choses en invoquant des livres qui auraient été écrits sous sa dictée par ... des humains, des livres qu'on déclare sacrés.
J'imagine que, dans leur for intérieur, ces humains qui font parler Dieu souffrent parfois (peut-être toujours) du complexe de l'imposteur.
Du moins ils le devraient : faire parler Dieu, quelle prétention orgueilleuse !
Quel insoutenable orgueil que de la soutenir !
Ces humains cherchent donc des appuis extérieurs à leur prétention.
Ici le « Grand Rabbin » cherche un diplôme prestigieux ou une reconnaissance scientifique éclatante, en affirmant à tort les détenir, ou en empruntant leurs réflexions à des penseurs reconnus.
Mais cette recherche peut aussi prendre d'autres formes : se couvrir d'or (couronnes, bagues, accessoires, etc.) et de vêtements somptueux comme les papes, évêques et archevêques, ou se laisser pousser une barbe patriarcale, ou vêtir une robe orange ou jaune ou noire.
Que sais-je encore ?
Qu'importe, il s'agit toujours d'acquérir des appuis extérieurs pour combler la béance de l'imposture qu'on ressent à l'intérieur de soi quand on prétend faire parler Dieu et quand on traite ainsi celui-ci comme une sorte de marionnette ou de pantin dont on est le ventriloque.
Là est l'explication des mensonges du « Grand Rabbin ».
Les autres qui ont les mêmes fonctions que lui dans d'autres religions que la sienne s'arrangent pour mentir sans parler.
« Moi, mentir ? Mais je n'ai rien dit ... »
(L'article de la « Libre Belgique » est ici).
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