samedi 13 avril 2013

Ce qu'il y a parfois derrière un monument triomphal

C'est le siège de sexe oral que le roi Édouard VII d'Angleterre (et du Canada) a fait spécialement faire pour lui à Paris du temps où il n'était que prince de Galles.
Ce roi était le fils de la reine Victoria (et du prince Albert) et est l'arrière-arrière grand-père de la reine Élizabeth II, l'ancêtre de toute la famille royale anglaise.
Il s'y asseyait au trois-quarts couché sur le siège que vous voyez entre ce qui semble être deux tiges courbées, à droite.
Sa partenaire lui faisait face et lui présentait son sexe à lécher en appuyant ses pieds sur les appuis que vous voyez chaque côté du siège, au centre, et en se tenant avec ses mains sur les deux tiges courbées.
Le roi préférait à tout le sexe oral, dit-on.
On dit que par la suite le siège a aussi servi à l'amour entre personnes du même sexe (mais le roi était mort depuis longtemps à cette époque).
C'est en me souvenant de ce fauteuil que je regarde la statue du roi Square Philips à Montréal (l'ensemble du monument est l'œuvre de Louis-Philippe Hébert), chaque fois que je passe devant et que j'en lis l'inscription en anglais, surtout les mots « loved » et « erected » :  

KING EDWARD VII
IN MEMORY OF
A MUCH LOVED SOVEREIGN
THE CITIZENS OF MONTREAL
ERECTED THIS MONUMENT
1914


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