Dans le livre écrit en anglais par Deni Y. Béchard, un demi Québécois, « Remèdes pour la faim » , cette réflexion sur la lecture (et la littérature) :
La lecture me faisait le même effet que si j'avais bu la vodka de mon père. [...] Les histoires étaient comme des sentiers. En sortant dehors et en regardant, on voyait le monde, juste le monde, mais en sortant après avoir lu une histoire, on découvrait un monde où tout pouvait arriver, comme si derrière les montagnes se déployaient cent pays pour lesquels j'aurais pu partir [...].
Le livre : Remèdes pour la faim, Deni Y. Béchard. Éditions Alto, 582 pages.
On en parle ici dans « La Presse ».
La lecture me faisait le même effet que si j'avais bu la vodka de mon père. [...] Les histoires étaient comme des sentiers. En sortant dehors et en regardant, on voyait le monde, juste le monde, mais en sortant après avoir lu une histoire, on découvrait un monde où tout pouvait arriver, comme si derrière les montagnes se déployaient cent pays pour lesquels j'aurais pu partir [...].
Le livre : Remèdes pour la faim, Deni Y. Béchard. Éditions Alto, 582 pages.
On en parle ici dans « La Presse ».
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