mercredi 15 avril 2009
Un Fauteuil (à peine) vacant
C'est le seul éloge funèbre que mérite ce décès.
P.S. L'éloge s'adresse au fauteuil, évidemment, car quand le défunt s'y asseyait ce pauvre riche fauteuil devait supporter le poids des 7 ou 8 «nègres» (aucun n'était noir, je crois) qui avaient écrit ses livres.
En ce qui concerne le cadavre, lire l'éreintement funèbre auquel procède Pierre Assouline là, dans son blogue du Monde.
On y voit le naguère révélé dans toute sa gloire postiche.
heure 08:38:00
4 commentaires:
... Incorrigible Jack!
Encore un "galérien" de la langue... qui disparait, pas en mer, mais en navre-ile...
Soyons indulgent, et jetons une fleur aux cendruons... pour "Les Partisans"... Parti sans dire au revoir?
Bon, alors? C'est pas tout ça, mais il est où son fauteuil pliant?
Bonjour chez vous.
Il va maintenant falloir choisir son camp didactique, je serais assez favorable à Tahar Ben Jelloun comme successeur, à plus d' un titre, et vous?
Je ne sais pas si à titre d'étranger j'ai droit au chapitre. Vous connaissez mieux que moi la faune (et la flore peut-être) littéraire parisienne. Faites-moi des suggestions, je vous dirai mes haines.
En outre, celui qui succèdera à celui-là aura, si je me souviens bien, à faire son éloge: qui s'y résignera?
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