samedi 25 octobre 2025

Les reines aussi régnaient chez les Mayas


Au cœur de la jungle guatémaltèque, des archéologues ont découvert des hiéroglyphes qui murmurent un nom oublié : la reine Ix K’an-Witz’ Tz’ihb, une souveraine maya disparue depuis 1 400 ans. Son histoire, gravée dans la pierre ancienne, révèle une vérité longtemps ignorée : les femmes aussi régnaient.

L’inscription, datée d’environ 650 apr. J.-C., représente une souveraine enveloppée de jade et couronnée de plumes de quetzal, symboles de l’autorité divine. Elle n’apparaît pas comme une épouse ou un ornement, mais comme une dirigeante commandant des armées, accomplissant des rituels et façonnant des dynasties.

Pendant des siècles, la jungle a gardé son secret sous les lianes et la mousse, tandis que les livres d’histoire ne parlaient que de rois. Mais les glyphes, désormais déchiffrés, changent la donne. Ils lui rendent sa voix. Son nom. Son pouvoir.

La découverte de la reine Ix K’an-Witz’ Tz’ihb redéfinit notre connaissance de la civilisation maya, prouvant que la grandeur n’était pas liée au sexe, mais au courage et à l’héritage.

À travers les pierres, son histoire renaît : celle d’une reine renaissante du silence.

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