mardi 28 octobre 2025
Calvitie
Sur l’autisme
Une lignée humaine dont l’ADN n’a pas survécu
Des scientifiques ont découvert des traces génétiques d'un mystérieux groupe humain qui vivait autrefois dans les hautes plaines près de Bogotá, mais dont on ne sait rien aujourd'hui de la descendance.
Dans une étude révolutionnaire publiée dans Science Advances (2025), des chercheurs ont analysé l'ADN de 21 individus ayant vécu il y a environ 6 000 ans. À leur grande surprise, ces anciens Colombiens ne partageaient aucun lien génétique direct avec une quelconque population autochtone ou sud-américaine ancienne connue.
Malgré leur prospérité dans la région pendant des millénaires, passant de la chasse à l'agriculture, leur ADN disparaît tout simplement du registre génétique. Seuls de faibles traces de leur ascendance apparaissent chez des groupes modernes parlant le chibchan d'Amérique centrale, comme ceux du Panama et du Honduras, suggérant des migrations ou des échanges culturels depuis longtemps oubliés à travers le corridor isthmo-colombien.
Cette découverte remet en question nos connaissances sur le peuplement primitif des Amériques. S'agissait-il d'une population isolée qui a disparu, ou leurs gènes ont-ils été absorbés par des groupes ultérieurs ? Les chercheurs espèrent que de nouvelles études ADN menées en Équateur, au Venezuela et dans l'ouest de la Colombie contribueront à éclaircir ce chapitre perdu de l'histoire humaine.
lundi 27 octobre 2025
Une épée de Damoclès sur les sbires pédophiles trumpistes et princiers
Une tour de livres à Berlin contre les autodafès nazis
Une tour de livres dressée à Berlin !
Conjointe bilippue d’un milliardaire des médias sociaux
Rosa Parks
Vision d’une cellule humaine vivante
Vulgarités
dimanche 26 octobre 2025
De rares cirrus
Les gens se soulagent sur cette étoile manifestement mal attribuée
Les gens n’hésitent donc pas à s’y soulager !
L’invention du « zipper »
samedi 25 octobre 2025
En Espagne, les animaux sont désormais reconnus comme des membres de la famille, et non comme des biens.
Les reines aussi régnaient chez les Mayas
Besame Mucho
Et pendant des années, le monde a cru que le compositeur était un homme.
Consuelo Velázquez Torres est née le 21 août 1916 à Ciudad Guzmán, dans l'État de Jalisco. Enfant prodige, elle jouait du piano à l'oreille à 4 ans et donnait son premier récital à 6 ans. Formée au piano classique de concert aux Beaux-Arts, elle aurait pu suivre une voie prestigieuse dans le monde universitaire et les conservatoires.
Mais c'est l'amour, et non la célébrité, qui l'a rendue immortelle.
En 1940, à seulement 24 ans, elle composa un boléro intitulé « Bésame mucho ». Elle l'écrivit après avoir assisté à une scène d'opéra passionnée, alors qu'à l'époque, elle n'avait jamais embrassé personne de sa vie.
Elle signa la chanson de son nom complet, mais dans de nombreux pays, Consuelo fut pris à tort pour un nom d'homme. Le monde entier pensait que cet hymne romantique intemporel était l'œuvre d'un compositeur espagnol.
Ils se trompaient lourdement.
« Bésame mucho » est devenu un phénomène mondial, interprété par des légendes comme les Beatles, Frank Sinatra, Luis Miguel, Andrea Bocelli, Cesária Évora et Nat King Cole. C'est aujourd'hui la chanson mexicaine la plus traduite et reprise de l'histoire.
Mais l'héritage de Consuelo ne s'est pas arrêté là.
Elle a composé des dizaines de chansons, a été députée et est devenue une ardente défenseure des droits des artistes, tout en naviguant avec une force tranquille dans un secteur dominé par les hommes. Malgré sa célébrité, elle a choisi une vie humble, loin des projecteurs, consacrée à sa famille et à son piano.
Consuelo Velázquez est décédée le 22 janvier 2005, à l'âge de 88 ans. Interrogée sur son secret, elle a simplement répondu ceci :
« Je n'ai jamais été bohème. J'étais romantique. Et je jouais avec l'âme. »
vendredi 24 octobre 2025
Le langage des corbeaux
Une pile nucléaire dont la production d’énergie dure 50 ans
La Chine a dévoilé une merveille technologique : une pile nucléaire de la taille d'une pièce de monnaie capable de produire de l'énergie en continu jusqu'à 50 ans sans avoir besoin d'être rechargée.
Cette micro-source d'énergie utilise des isotopes radioactifs et des semi-conducteurs avancés pour convertir en toute sécurité le rayonnement en électricité, produisant ainsi une énergie propre et stable à l'échelle microscopique. Conçue pour les petits appareils, les satellites et les implants médicaux, elle pourrait un jour alimenter indéfiniment des gadgets, des capteurs, voire des véhicules électriques.
Contrairement aux piles traditionnelles, elle ne contient aucune pièce mobile, aucune émission et aucune dégradation chimique. Les scientifiques soulignent sa sécurité : elle est entièrement protégée contre les rayonnements, ce qui la rend inoffensive pour les consommateurs.
Si elle est commercialisée, cette innovation pourrait éliminer le besoin de câbles de charge, de prises et de remplacement de piles, révolutionnant ainsi notre perception de l'énergie elle-même.
Un avenir où les appareils fonctionneront pendant des décennies sur une seule charge ne relève peut-être plus de la science-fiction : c'est la prochaine étape de l'innovation énergétique chinoise.
jeudi 23 octobre 2025
Fleurs bleues

À mon avis, chacun tiendra mordicus à son appellation.
Ainsi vont les parlers !
Des bourreaux et des blessés
mercredi 22 octobre 2025
Quelqu’un pour débarrasser notre planète des Sud-Africains blancs ?
Les moustiques arrivent dans le seul continent où ils ne pouvaient pas vivre jusqu’à présent
Notre fragile demeure
Capturée pour la première fois lors des missions Apollo, cette image, connue sous le nom de « Lever de Terre », montre notre planète bleu et blanc, rayonnante de vie, plongée dans l'obscurité infinie de l'espace.
Alors que la Lune est silencieuse, froide et sans vie, la Terre, elle, resplendit de couleurs, de nuages et d'océans : c'est le seul monde connu où la vie existe.
Des moments comme celui-ci nous rappellent que nous partageons tous la même et fragile demeure, flottant ensemble à travers l'univers.
Pour une « salle de bal » accablée de dorures quétaines
mardi 21 octobre 2025
Pattes d’éléphants ?
lundi 20 octobre 2025
La prison d'automne
Notre situation sur cette terre paraît étrange
Notre situation sur cette terre paraît étrange. Chacun de nous apparaît ici involontairement et sans y être invité pour un court séjour, sans en connaître les raisons ni les objectifs.
Au quotidien, nous ressentons seulement que l'homme est là pour le bien des autres, pour ceux que nous aimons et pour tant d'autres êtres dont le destin est lié au nôtre. Je m'inquiète souvent à l'idée que ma vie repose en sie grande partie sur le travail de mes semblables, et je suis conscient de ma grande dette envers eux.
A. Einstein, cité dans Mon Credo (1932)
Divorce de reines
Le pape du temps a permis que Louis VII divorce d’Aliénor parce qu’elle ne lui enfantait que des filles alors que 400 ans ans plus tard un autre pape a refusé que le roi Henry VIII divorce de Catherine d’Aragon qui, comme Aliénor, ne lui enfantait pas de garçon.
D’où le schisme justifié et la fondation de l’Église indépendante d’Angleterre.
Aliénor s’est remariée à Henri II Plantagenêt, roi d’Angleterre, et ne lui a donné que des garçons.
Sa dernière demeure est l'abbaye royale de Fontevraud, en France, où elle repose aux côtés de son second époux, le roi Henri II d'Angleterre, et de leur fils, le roi Richard Cœur de Lion.
Son tombeau (photo) présente une magnifique effigie la représentant allongée lisant un livre, symbole de son prestigieux mécénat artistique. Aliénor se retira à l'abbaye et y fut inhumée à sa mort en 1204, assurant ainsi son héritage aux côtés de sa famille royale au cœur de leur empire angevin.

















































