Sur cette rive de la Baie des Ha ! Ha ! il y a une croix que je n'avais jamais vue, avant cette excursion en bateau au mois d'août qui nous a conduit jusqu'à l'Anse-Saint-Jean.
Pouvez-vous la voir ?
Je ne l'ai vue, pour ma part, que lorsque j'ai regardé la photo suivante où j'avais fait un zoom sur cette rive :
Dans la première photo, la croix est à gauche (regardez bien).
Peut-être est-ce un acte plus patriotique que religieux que d'ériger ainsi des croix sur tous les sommets montagneux que l'on rencontre, en croyant imiter le geste auguste de Jacques Cartier, à Montréal (appelée alors « Hochelaga »), sur le mont Royal (du nom qu'il a donné à cette montagne, qui a donné en retour, plus tard, son nom à la ville) en septembre 1535.
Ou peut-être le peuple québécois est-il pour l'éternité destiné à subir ce qu'on pourrait appeler un « supplice de la croix » de la part de ceux qui veulent lui imposer leur croix personnelle en croyant ainsi sauver leur âme pourtant d'ores et déjà irrémédiablement perdue par ce geste même d'imposer aux autres leur croyance personnelle.
Pouvez-vous la voir ?
Je ne l'ai vue, pour ma part, que lorsque j'ai regardé la photo suivante où j'avais fait un zoom sur cette rive :
Dans la première photo, la croix est à gauche (regardez bien).
Peut-être est-ce un acte plus patriotique que religieux que d'ériger ainsi des croix sur tous les sommets montagneux que l'on rencontre, en croyant imiter le geste auguste de Jacques Cartier, à Montréal (appelée alors « Hochelaga »), sur le mont Royal (du nom qu'il a donné à cette montagne, qui a donné en retour, plus tard, son nom à la ville) en septembre 1535.
Ou peut-être le peuple québécois est-il pour l'éternité destiné à subir ce qu'on pourrait appeler un « supplice de la croix » de la part de ceux qui veulent lui imposer leur croix personnelle en croyant ainsi sauver leur âme pourtant d'ores et déjà irrémédiablement perdue par ce geste même d'imposer aux autres leur croyance personnelle.
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