Le vin blanc dans ce verre (avec dessin de panache, regardez bien) du restaurant « Le Panache », c'est un blanc québécois du Vignoble Sainte-Pétronille de l'île d'Orléans, voisine de Québec, sur le fleuve Saint-Laurent.
On me l'avait servi pour accompagner l'entrée de crevettes
Le nom du vin ? « Le Voile de la mariée ».
C'est le premier vin blanc québécois qui me plaît vraiment.
Léger (12,2%) (il ne s'est pas laissé emporter par l'horrible ouragan de la parkerisation), d'un gris doré, il est fait de raisins appartenant aux cépages hybrides Vandal-Cliche & Vidal blanc.
Jacques Cartier a eu raison, en 1535, de nommer « île de Bacchus » cette île (qui deviendra ultérieurement « d'Orléans » en l'honneur d'un fils de François 1er), car c'était (et c'est encore, on le constate) l'île du dieu du vin chez les Romains, Bacchus (Dionysos, chez les Grecs).
Vous voulez voir l'étiquette du « Voile de la mariée » ?
Et l'heureuse bouteille à bouchon vissé, qui évite le si fréquent « bouchonnage » dû aux bouchons de liège ?
On me l'avait servi pour accompagner l'entrée de crevettes
Le nom du vin ? « Le Voile de la mariée ».
C'est le premier vin blanc québécois qui me plaît vraiment.
Léger (12,2%) (il ne s'est pas laissé emporter par l'horrible ouragan de la parkerisation), d'un gris doré, il est fait de raisins appartenant aux cépages hybrides Vandal-Cliche & Vidal blanc.
Jacques Cartier a eu raison, en 1535, de nommer « île de Bacchus » cette île (qui deviendra ultérieurement « d'Orléans » en l'honneur d'un fils de François 1er), car c'était (et c'est encore, on le constate) l'île du dieu du vin chez les Romains, Bacchus (Dionysos, chez les Grecs).
Vous voulez voir l'étiquette du « Voile de la mariée » ?
Et l'heureuse bouteille à bouchon vissé, qui évite le si fréquent « bouchonnage » dû aux bouchons de liège ?
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