Devenir Français c'est, en effet, l'emprisonnement, devenir « Sauvage » c'est la liberté, Marie de l'Incarnation l'avait bien senti !
C'est l'histoire du Québec (à partir de la Nouvelle-France) et des Québécois.
Les ancêtres français des Québécois, dans ces immenses espaces, loin de la dictature royale et catholique, et loin, surtout, de l'opinion envieuse et dénigrante d'autrui, se sont assimilés à la culture amérindienne et sont devenus des « Sauvages » plus que des « Français » (à quelques exceptions près).
Peut-être étaient-ils un peu plus sauvages que les autres Français, d'entrée de jeu, pour fuir ainsi la dictature des Bourbons et des papes : l'Europe !
Comme ceux qui immigrent au Québec à présent, plus nombreux en dix ans que pendant les cent cinquante années de la Nouvelle-France et qui fuient un autre emprisonnement.
N'eût été la déplorable conquête anglaise, nous aurions fondé une culture métisse, amérindienne de mœurs et française de langue.
Mais peut-être la fonderons-nous un jour, quand nous aurons le courage d'être libres, enfin libres !
Comme les sauvages qui vivaient avant nous dans ce Nouveau Monde !
(Voir l'article du Devoir à ce sujet « La Conquête (des origines) », ici).
C'est l'histoire du Québec (à partir de la Nouvelle-France) et des Québécois.
Les ancêtres français des Québécois, dans ces immenses espaces, loin de la dictature royale et catholique, et loin, surtout, de l'opinion envieuse et dénigrante d'autrui, se sont assimilés à la culture amérindienne et sont devenus des « Sauvages » plus que des « Français » (à quelques exceptions près).
Peut-être étaient-ils un peu plus sauvages que les autres Français, d'entrée de jeu, pour fuir ainsi la dictature des Bourbons et des papes : l'Europe !
Comme ceux qui immigrent au Québec à présent, plus nombreux en dix ans que pendant les cent cinquante années de la Nouvelle-France et qui fuient un autre emprisonnement.
N'eût été la déplorable conquête anglaise, nous aurions fondé une culture métisse, amérindienne de mœurs et française de langue.
Mais peut-être la fonderons-nous un jour, quand nous aurons le courage d'être libres, enfin libres !
Comme les sauvages qui vivaient avant nous dans ce Nouveau Monde !
(Voir l'article du Devoir à ce sujet « La Conquête (des origines) », ici).
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